Je n´ai jamais vraiment su
Qui du bayou
Ou de Molière qui me plaît le plus,
Jardin ou cour?

Mon coeur ne goûte je l´admets
Que l´aigre-doux
Subtil mélange s´il en est
Qu´un rien bafoue.

De dépit je noie mon chagrin
A cour...
A cour ou jardin

Me voila bien perplexifié
Avec bravoure
J´aimerais les deux conjuguer
Au front toujours

Mais dés que l´empli prend le pas,
On perd c´est fou,
Les mots, l´humeur et quel effroi
Tout devient flou

De dépit je noie mon chagrin
A cour...
A cour ou jardin
Je fais pan puis j´vois comme ça vient
A cour...
A cour ou jardin

L´indécision se monte à cru,
C´est connu.
Les deux dilemmes de chaqu´instant, pareil.
Si conjugués alors les deux
Font merveille,

De dépit je noie mon chagrin
A cour ou jardin

A cour...
Je fais fait pan j´vois comme ça me vient
A cour ou jardin,
A cour ou jardin,
Et ça me va bien.