Bouddha
by Véronique Sanson
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Mon univers ce n´est plus le tien,
Moi je voulais un autre chemin,
Un peu de terre m´a glissé dans la main...
Ai-je agit si mal? Ou est ce que c´est la vie?
La où je suis, c´est bien différent,
Je ne joue plus pour personne et si quelqu´un aime entendre,
Des chansons douces, qui sortent de mes mains...
Ai-je agit si mal? Ou....
C´est le diable qui est en moi,
Ou c´est le grand bouddha de là-haut,
Comme tu dis et l´au-delà,
L´amour qui m´a maudit,
Quand ma mère m´a donné le jour,
Comme tu dis et c´est au delà des mers,
Au delà des vents,
Que je vois ma peine d´antan,
Qui fait ahhh...
Et au dessus des méridiens,
C´est comme si j´attendais quelqu´un qui m´attends...
Et quelques fois le bonheur me frôle,
Comme si un peu de verre me caressait le dos,
Et quelques fois le bonheur me frôle,
Et la solitude, sourit...
Mais c´est le diable qui est en moi,
Ou c´est le grand bouddha de là-haut,
Comme tu dis et l´au-delà,
L´amour qui m´a maudit,
Quand ma mère m´a donné le jour,
Comme tu dis et c´est au delà des mers,
Au delà des vents,
Que je vois ma peine d´antan,
Qui fait ahhh...
Et au dessus des méridiens,
C´est comme si j´attendais quelqu´un qui m´attends...
Mais c´est le diable qui est en moi,
Ou c´est le grand bouddha de là-haut,
Comme tu dis et l´au-delà,
L´amour qui m´a maudit,
Quand ma mère m´a donné le jour,
Comme tu dis et c´est au delà des mers,
Au delà des vents,
Que je vois ma peine d´antan,
Qui fait ahhh...
Et au dessus des méridiens,
C´est comme si j´attendais quelqu´un qui m´attends...
Qui m´attends...
Moi je voulais un autre chemin,
Un peu de terre m´a glissé dans la main...
Ai-je agit si mal? Ou est ce que c´est la vie?
La où je suis, c´est bien différent,
Je ne joue plus pour personne et si quelqu´un aime entendre,
Des chansons douces, qui sortent de mes mains...
Ai-je agit si mal? Ou....
C´est le diable qui est en moi,
Ou c´est le grand bouddha de là-haut,
Comme tu dis et l´au-delà,
L´amour qui m´a maudit,
Quand ma mère m´a donné le jour,
Comme tu dis et c´est au delà des mers,
Au delà des vents,
Que je vois ma peine d´antan,
Qui fait ahhh...
Et au dessus des méridiens,
C´est comme si j´attendais quelqu´un qui m´attends...
Et quelques fois le bonheur me frôle,
Comme si un peu de verre me caressait le dos,
Et quelques fois le bonheur me frôle,
Et la solitude, sourit...
Mais c´est le diable qui est en moi,
Ou c´est le grand bouddha de là-haut,
Comme tu dis et l´au-delà,
L´amour qui m´a maudit,
Quand ma mère m´a donné le jour,
Comme tu dis et c´est au delà des mers,
Au delà des vents,
Que je vois ma peine d´antan,
Qui fait ahhh...
Et au dessus des méridiens,
C´est comme si j´attendais quelqu´un qui m´attends...
Mais c´est le diable qui est en moi,
Ou c´est le grand bouddha de là-haut,
Comme tu dis et l´au-delà,
L´amour qui m´a maudit,
Quand ma mère m´a donné le jour,
Comme tu dis et c´est au delà des mers,
Au delà des vents,
Que je vois ma peine d´antan,
Qui fait ahhh...
Et au dessus des méridiens,
C´est comme si j´attendais quelqu´un qui m´attends...
Qui m´attends...