Mortelles pensées
by Véronique Sanson
lyricscopy.com
Lui, si délicat dans sa tendresse,
Si raffiné dans ses caresses,
Que j´ai tenu dans mes bras
Quand il avait besoin de moi.
Je l´ai quitté pour d´autres mains,
Pour des briseurs de destin
Et des empêcheurs d´exister :
Bien fait pour moi.
Si vous saviez comme je l´aimais.
Plus qu´aucun autre, je l´admirais.
Depuis, dans un brouillard,
Je n´sais plus où je vais,
Et je me rattatine à petits pas.
Et je bous de le revoir
Pour apaiser mon désespoir.
Je voudrais fuir vers d´autres nuits
Et j´ai chanté seulement pour lui
Les souvenirs qui nous ressemblent
Et qui nous hantent
Et qui s´en vont vers le soleil
Lui, qui m´a dit d´un ton vainqueur
qu´il n´y a plus de doute ni de douleur
Dans la musique et dans mon cœur.
Je le tuerais d´avoir pensé ça.
Et s´il y a des choses qu´il ignore,
Il n´a qu´à m´écouter plus fort
Jusqu´à ce que la mort de l´un ou bien de l´autre
Souffle la bulle de nos amours.
Lui, sans qui je ne serais rien au monde,
Je l´aimerais toujours, à genoux.
Je vis ma vie... oh... comme tout le monde :
Le temps dessèche ce qu´il inonde.
Et pour avoir connu l´immonde
Je voudrais vivre le meilleur
Ce qui n´arrive que dans les contes
Qu´on dit sur l´heure
Où notre lune s´en va très haut
Et quand les dieux sont au repos...
Si raffiné dans ses caresses,
Que j´ai tenu dans mes bras
Quand il avait besoin de moi.
Je l´ai quitté pour d´autres mains,
Pour des briseurs de destin
Et des empêcheurs d´exister :
Bien fait pour moi.
Si vous saviez comme je l´aimais.
Plus qu´aucun autre, je l´admirais.
Depuis, dans un brouillard,
Je n´sais plus où je vais,
Et je me rattatine à petits pas.
Et je bous de le revoir
Pour apaiser mon désespoir.
Je voudrais fuir vers d´autres nuits
Et j´ai chanté seulement pour lui
Les souvenirs qui nous ressemblent
Et qui nous hantent
Et qui s´en vont vers le soleil
Lui, qui m´a dit d´un ton vainqueur
qu´il n´y a plus de doute ni de douleur
Dans la musique et dans mon cœur.
Je le tuerais d´avoir pensé ça.
Et s´il y a des choses qu´il ignore,
Il n´a qu´à m´écouter plus fort
Jusqu´à ce que la mort de l´un ou bien de l´autre
Souffle la bulle de nos amours.
Lui, sans qui je ne serais rien au monde,
Je l´aimerais toujours, à genoux.
Je vis ma vie... oh... comme tout le monde :
Le temps dessèche ce qu´il inonde.
Et pour avoir connu l´immonde
Je voudrais vivre le meilleur
Ce qui n´arrive que dans les contes
Qu´on dit sur l´heure
Où notre lune s´en va très haut
Et quand les dieux sont au repos...