Testostérone émoi
by Yves Jamait
lyricscopy.com
Elle me parle de cinéma,
Je pense à sa cambrure.
Jaoui, Bacri, De Palma,
J´avoue n´en avoir cure.
Elle termine ses phrases par "tu vois".
Oui, je vois l´échancrure.
Je dirais même que je ne vois qu´ça,
C´est une vraie torture.
R. Je branle du chef, j´opine,
Occupé par ailleurs
À mater sa bouche divine.
C´est pas ma faute, pas mon choix.
C´est biologique tout ça.
Je libère de la testostérone
Et ça je ne le contrôle pas.
J´écoute, mais je n´entends pas, sur la littérature,
Toutes les positions qu´elle a, je m´en tape pour sûr.
Moi, je pense Kama Sutra lorsque j´entends : "lecture".
Aussi fais-je mine de ne pas brusquer la créature.
R. Je branle du chef, j´opine,
Occupé par ailleurs
À mater sa bouche divine.
C´est pas ma faute, pas mon choix.
C´est biologique tout ça.
J´ai des poussées de testostérone
Et ça je les contrôle pas.
Elle étale du Spinoza comme de la confiture.
Je sirote six/huit vodkas en guise de bromure.
Hélas, ça ne suffit pas pour calmer la nature.
Et si c´était un Wonderbra verrai-je l´armature?
R. Je branle du chef, j´opine,
Occupé par ailleurs
A estimer son tour de poitrine.
C´est pas ma faute, pas mon choix.
C´est biologique tout ça.
J´ai des poussées de testostérone
Et ça je les contrôle pas {x2}.
Doucement je sens les dégâts que cause la biture
Mais je fais fi de ce constat et, fort de ma culture :
"Donatien Alphonse François serait de bon augure"
Lui dis-je en insinuant mes doigts dans la dite échancrure.
R. Je branle du chef, j´opine,
Occupé par ailleurs.
C´est pas ma faute, pas mon choix.
C´est biologique tout ça.
Je libère de la testostérone
Et ça je les contrôle pas {x2}.
R. Je branle du chef, j´opine,
Occupé par ailleurs
À mater sa bouche divine.
C´est pas ma faute, pas mon choix.
C´est biologique tout ça.
Je libère de la testostérone
Et ça je ne le contrôle pas.
C´est pas ma faute, pas mon choix...
Je pense à sa cambrure.
Jaoui, Bacri, De Palma,
J´avoue n´en avoir cure.
Elle termine ses phrases par "tu vois".
Oui, je vois l´échancrure.
Je dirais même que je ne vois qu´ça,
C´est une vraie torture.
R. Je branle du chef, j´opine,
Occupé par ailleurs
À mater sa bouche divine.
C´est pas ma faute, pas mon choix.
C´est biologique tout ça.
Je libère de la testostérone
Et ça je ne le contrôle pas.
J´écoute, mais je n´entends pas, sur la littérature,
Toutes les positions qu´elle a, je m´en tape pour sûr.
Moi, je pense Kama Sutra lorsque j´entends : "lecture".
Aussi fais-je mine de ne pas brusquer la créature.
R. Je branle du chef, j´opine,
Occupé par ailleurs
À mater sa bouche divine.
C´est pas ma faute, pas mon choix.
C´est biologique tout ça.
J´ai des poussées de testostérone
Et ça je les contrôle pas.
Elle étale du Spinoza comme de la confiture.
Je sirote six/huit vodkas en guise de bromure.
Hélas, ça ne suffit pas pour calmer la nature.
Et si c´était un Wonderbra verrai-je l´armature?
R. Je branle du chef, j´opine,
Occupé par ailleurs
A estimer son tour de poitrine.
C´est pas ma faute, pas mon choix.
C´est biologique tout ça.
J´ai des poussées de testostérone
Et ça je les contrôle pas {x2}.
Doucement je sens les dégâts que cause la biture
Mais je fais fi de ce constat et, fort de ma culture :
"Donatien Alphonse François serait de bon augure"
Lui dis-je en insinuant mes doigts dans la dite échancrure.
R. Je branle du chef, j´opine,
Occupé par ailleurs.
C´est pas ma faute, pas mon choix.
C´est biologique tout ça.
Je libère de la testostérone
Et ça je les contrôle pas {x2}.
R. Je branle du chef, j´opine,
Occupé par ailleurs
À mater sa bouche divine.
C´est pas ma faute, pas mon choix.
C´est biologique tout ça.
Je libère de la testostérone
Et ça je ne le contrôle pas.
C´est pas ma faute, pas mon choix...