Le biniou
par Albert Alvarez
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De ma bourse un peu pauvrette
Où l´ennui m´a fait fouiller,
Je me suis permis l´emplette
D´un biniou de cornouiller,
Sur notre lande bretonne,
Oh, les jolis airs qu´il sonne,
Oh, comme il endort les cœurs,
La fatigue et les douleurs
{Refrain:}
Les douleurs sont des folles
Et qui les écoute est encore plus fou,
A nous deux, toi qui consoles!
Biniou, mon biniou, mon cher biniou
Près de moi tout lui fait fête,
C´est l´oiseau qu´il réjouit,
C´est l´écho qui le répète,
C´est la brise qui le suit.
Quelle est donc cette magie
Qui nous jette, en pleine vie,
Le sourire au sein des pleurs,
La gaîté sur les douleurs?
{au Refrain}
Mais la somme qu´il me coûte
Sera lente à revenir,
Et bien des rigueurs, sans doute,
M´en laisseront souvenir,
Ma sacoche un peu moins lourde,
Moins de cidre dans ma gourde
Puis, qui sait? jours de malheurs
La faim même et ses douleurs
{au Refrain}
Où l´ennui m´a fait fouiller,
Je me suis permis l´emplette
D´un biniou de cornouiller,
Sur notre lande bretonne,
Oh, les jolis airs qu´il sonne,
Oh, comme il endort les cœurs,
La fatigue et les douleurs
{Refrain:}
Les douleurs sont des folles
Et qui les écoute est encore plus fou,
A nous deux, toi qui consoles!
Biniou, mon biniou, mon cher biniou
Près de moi tout lui fait fête,
C´est l´oiseau qu´il réjouit,
C´est l´écho qui le répète,
C´est la brise qui le suit.
Quelle est donc cette magie
Qui nous jette, en pleine vie,
Le sourire au sein des pleurs,
La gaîté sur les douleurs?
{au Refrain}
Mais la somme qu´il me coûte
Sera lente à revenir,
Et bien des rigueurs, sans doute,
M´en laisseront souvenir,
Ma sacoche un peu moins lourde,
Moins de cidre dans ma gourde
Puis, qui sait? jours de malheurs
La faim même et ses douleurs
{au Refrain}