Ballade de la vie agréable
par Albert Préjean
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Sur les grands hommes on conte des blagues pures
On dit qu´y n´parlent que de littérature
Dans des greniers remplis de rats immondes
Tout ça c´est des bobards pour duper l´monde
On bourre le crâne au pauvre couillon
Moi j´en ai marre de vivre sans pognon
Tous les oiseaux d´ici en Babylone
Ne trouveraient pas cette pâture bonne
Vous pouvez m´croire, ne vous en déplaise
Mais il n´est trésor que de vivre à son aise
On nous cite les coureurs à l´aventure
Qui pour la vertu se font la vie dure
Pour l´idéal ils souffrent le martyre
Afin qu´leur concierge ait des trucs à lire
On s´les r´présente se couchant le soir
Avec leur femme qui est un vrai repoussoir
Et dont l´ambition tout juste ose prétendre
A vivre avec cinq mille francs par an
Quels pauvres bougres, ne vous en déplaise
Il n´est trésor que de vivre à son aise
On dit qu´y n´parlent que de littérature
Dans des greniers remplis de rats immondes
Tout ça c´est des bobards pour duper l´monde
On bourre le crâne au pauvre couillon
Moi j´en ai marre de vivre sans pognon
Tous les oiseaux d´ici en Babylone
Ne trouveraient pas cette pâture bonne
Vous pouvez m´croire, ne vous en déplaise
Mais il n´est trésor que de vivre à son aise
On nous cite les coureurs à l´aventure
Qui pour la vertu se font la vie dure
Pour l´idéal ils souffrent le martyre
Afin qu´leur concierge ait des trucs à lire
On s´les r´présente se couchant le soir
Avec leur femme qui est un vrai repoussoir
Et dont l´ambition tout juste ose prétendre
A vivre avec cinq mille francs par an
Quels pauvres bougres, ne vous en déplaise
Il n´est trésor que de vivre à son aise