Mathilde
par Aldebert
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Versatile à défaut d´être honnête
Souvent devant, toujours en tête
Les quelques mots qu´elle manie bien
Ont un p´tit air de déjà rien
Mathilde... Mathilde...
Convaincue que tout l´monde l´aime
Elle juge et condamne tout c´qui traîne
Elle sait se jouer de ses fantômes
Tenir le monde entre ses paumes.
Mathilde... Mathilde...
Mathilde a les yeux qui flottent
Accrochée au bar
Ce soir elle ouvre enfin la porte...
On la rêve tous différente
Mais elle connaît son personnage
Qu´elle guide de manière élégante
Entre deux verres au passage.
Faut-il qu´elle boive pour penser vrai
Quelques verres de mauvais vin?
Faut-il qu´elle boive pour qu´on la voit
Se révéler enfin?
Mais tu parles trop...
T´en fais toujours trop...
Mathilde...
Pour toujours être dans le vent
Elle applaudit tous les courants
Se la jouer, paraître, peu importe
Pourvu que l´on sonne à sa porte.
Mathilde... Mathilde...
Lui faire jouer son dernier atout
Pour faire tomber enfin le masque
Lui montrer qu´montrer n´est pas tout
Que ce soit elle un peu qui casque.
Mathilde... Mathilde...
Mathilde a les yeux qui flottent
Accrochée au bar
Ce soir elle ouvre enfin la porte...
On la rêve tous différente
Mais elle connaît son personnage
Qu´elle guide de manière élégante
Entre deux verres au passage
Mais tu parles trop...
T´en fais toujours trop...
Mathilde...
Atteinte de parisiannisme aigu
Elle déambule selon les courbes
Que dessine l´élite reconnue
A finalité ridicule.
Mais quelque chose m´attire en elle
Lorsqu´elle se laisse enfin rêver
A des choses non formatées
S´envoler avec à tire d´ailes.
Faut-il qu´elle boive pour penser vrai
Quelques verres de mauvais vin?
Faut-il qu´elle boive pour qu´on la voit
Se révéler enfin?
Mais tu parles trop...
T´en fais toujours trop...
Oh, allez!
Souvent devant, toujours en tête
Les quelques mots qu´elle manie bien
Ont un p´tit air de déjà rien
Mathilde... Mathilde...
Convaincue que tout l´monde l´aime
Elle juge et condamne tout c´qui traîne
Elle sait se jouer de ses fantômes
Tenir le monde entre ses paumes.
Mathilde... Mathilde...
Mathilde a les yeux qui flottent
Accrochée au bar
Ce soir elle ouvre enfin la porte...
On la rêve tous différente
Mais elle connaît son personnage
Qu´elle guide de manière élégante
Entre deux verres au passage.
Faut-il qu´elle boive pour penser vrai
Quelques verres de mauvais vin?
Faut-il qu´elle boive pour qu´on la voit
Se révéler enfin?
Mais tu parles trop...
T´en fais toujours trop...
Mathilde...
Pour toujours être dans le vent
Elle applaudit tous les courants
Se la jouer, paraître, peu importe
Pourvu que l´on sonne à sa porte.
Mathilde... Mathilde...
Lui faire jouer son dernier atout
Pour faire tomber enfin le masque
Lui montrer qu´montrer n´est pas tout
Que ce soit elle un peu qui casque.
Mathilde... Mathilde...
Mathilde a les yeux qui flottent
Accrochée au bar
Ce soir elle ouvre enfin la porte...
On la rêve tous différente
Mais elle connaît son personnage
Qu´elle guide de manière élégante
Entre deux verres au passage
Mais tu parles trop...
T´en fais toujours trop...
Mathilde...
Atteinte de parisiannisme aigu
Elle déambule selon les courbes
Que dessine l´élite reconnue
A finalité ridicule.
Mais quelque chose m´attire en elle
Lorsqu´elle se laisse enfin rêver
A des choses non formatées
S´envoler avec à tire d´ailes.
Faut-il qu´elle boive pour penser vrai
Quelques verres de mauvais vin?
Faut-il qu´elle boive pour qu´on la voit
Se révéler enfin?
Mais tu parles trop...
T´en fais toujours trop...
Oh, allez!