Les mondes engourdis
par Anatomie Bousculaire
lyricscopy.com
Ma cité d´or, cité de feu, cité d´étoiles aseptisées
L´égalité tire sur les bords, le rejet de greffe a commencé
Cité dortoir, cité d´honneur, ma cité grogne abandonnée
La dignité avale son chlore, face à son manque de liberté
Ahhhhh...
Ma cité d´or, cité de feu
J´attends au pied de l´arbre mort
Qu´enfin s´éveillent les entassés
Ma cité d´or, cité de feu
Au son des chants de Maldoror
Le cri des peaux diabolisées
Ma cité d´or, cité de feu, cité d´étoiles trop policées
L´égalité a changé de bords
Le rejet de greffe s´est emballé
Cité dortoir, cité d´horreur, ma cité lasse, abandonnée
La dignité recrache sa flore, face à sa rage de liberté
Ahhhhh...
Ahhhhh...
Ma cité d´or, cité de feu, cité d´étoiles dévalisées
L´égalité tire sur le mors
Le rejet de greffe s´est enflammé
Cité dortoir, cité d´honneur, ma cité classe, va se lever
La dignité recrache sa flore, face au carnage politisé
Ma cité d´or, cité des dieux
J´attends au pied de l´arbre mort
Qu´enfin renaissent les ensablés
Ma cité d´or, cité de feu
Le cœur griffé sur la longueur
Le cri des peaux écartelées
Ma cité d´or, cité de feu
J´entends au pied des miradors
L´appel au calme des rescapés
Ma cité d´or, cité de feu
Le cœur greffé sur la longueur,
Ne cessera donc jamais de couler?
L´égalité tire sur les bords, le rejet de greffe a commencé
Cité dortoir, cité d´honneur, ma cité grogne abandonnée
La dignité avale son chlore, face à son manque de liberté
Ahhhhh...
Ma cité d´or, cité de feu
J´attends au pied de l´arbre mort
Qu´enfin s´éveillent les entassés
Ma cité d´or, cité de feu
Au son des chants de Maldoror
Le cri des peaux diabolisées
Ma cité d´or, cité de feu, cité d´étoiles trop policées
L´égalité a changé de bords
Le rejet de greffe s´est emballé
Cité dortoir, cité d´horreur, ma cité lasse, abandonnée
La dignité recrache sa flore, face à sa rage de liberté
Ahhhhh...
Ahhhhh...
Ma cité d´or, cité de feu, cité d´étoiles dévalisées
L´égalité tire sur le mors
Le rejet de greffe s´est enflammé
Cité dortoir, cité d´honneur, ma cité classe, va se lever
La dignité recrache sa flore, face au carnage politisé
Ma cité d´or, cité des dieux
J´attends au pied de l´arbre mort
Qu´enfin renaissent les ensablés
Ma cité d´or, cité de feu
Le cœur griffé sur la longueur
Le cri des peaux écartelées
Ma cité d´or, cité de feu
J´entends au pied des miradors
L´appel au calme des rescapés
Ma cité d´or, cité de feu
Le cœur greffé sur la longueur,
Ne cessera donc jamais de couler?