Timichine pouhpouh
par Andre Bourvil
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J´ai connu l´amour exotique
En traversant le Sahara,
Là-bas, là-bas sous les tropiques
I´ fait bien chaud, c´est pas comme là.
Elle avait une peau basanée
C´était une noire, une merveill´,
J´avais aussi la peau bronzée
Car j´n´avais pas d´chapeau d´soleil.
J´ai cru qu´c´était ZUMBA
Ou alors BAMBOULA,
Oui mais elle ne s´appelait pas comme ça.
{Refrain:}
TIMICHINE LA POUHPOUH,
C´était son nom de famille,
TIMICHINE LA POUHPOUH,
C´était une bien jolie fille.
C´est à l´ombre d´un palmier
Qn´nous connûmes les délices,
Mais nous fûmes importunés
Bien avant que ça finisse,
Car elle crut entendre soudain
L´simoun souffler pas bien loin;
"Qu´est ce que c´est", criai je tremblant:
"C´est rien, dit-elle, c´est un vent."
TIMICHINE LA POUHPOUH!
Nous connûmes l´aventure,
Crois-tu qu´j´irai jusqu´au bout,
Elle me dit: j´en suis pas sûre.
Bientôt passa une caravane,
Nous devions prendre le retour,
Ell´ me dit: "J´ai mal aux tatanes,
Nous partirons un autre jour."
Ainsi loin du bruit et d´la ville
Nous restames seuls dans l´oasis,
Ell´ me dit: "Tu es mon idylle"
Moi, j´lui dis: "Pourvu que je puisse."
Voyant que je suais trop,
Ell´m´dit: "Ôte ton patelot,
Car ici nous sommes dans les pays chauds.
{Refrain:}
TIMICHINE LA POUHPOUH
Sous le beau soleil d´Afrique,
Nous connûm´s des instants doux,
Tout en faisant un piqu´ nique.
Elle sentait le sable chaud,
C´était pas mon légionnaire,
Heureus´ment, ce s´rait pas beau
Si j´aimais un légionnaire.
Mais un jour ell´ m´dit: "je m´ennuie,
J´veux r´tourner à ma maison,
Ainsi partent les jeunes fill´s,
Sitôt qu´ell´s ont le bourdon,
Ell´ s´est perdue j´n´sais où,
Peut-être dans la forêt vierge,
A Saint Antoine de Padoue
Ben! j´ai fait brûler un cierge.
TIMICHINE LA POUHPOUH!!!!
TIMICHINE LA POUHPOUH!!!
TIMICHINE LA POUHPOUH!!!!!
En traversant le Sahara,
Là-bas, là-bas sous les tropiques
I´ fait bien chaud, c´est pas comme là.
Elle avait une peau basanée
C´était une noire, une merveill´,
J´avais aussi la peau bronzée
Car j´n´avais pas d´chapeau d´soleil.
J´ai cru qu´c´était ZUMBA
Ou alors BAMBOULA,
Oui mais elle ne s´appelait pas comme ça.
{Refrain:}
TIMICHINE LA POUHPOUH,
C´était son nom de famille,
TIMICHINE LA POUHPOUH,
C´était une bien jolie fille.
C´est à l´ombre d´un palmier
Qn´nous connûmes les délices,
Mais nous fûmes importunés
Bien avant que ça finisse,
Car elle crut entendre soudain
L´simoun souffler pas bien loin;
"Qu´est ce que c´est", criai je tremblant:
"C´est rien, dit-elle, c´est un vent."
TIMICHINE LA POUHPOUH!
Nous connûmes l´aventure,
Crois-tu qu´j´irai jusqu´au bout,
Elle me dit: j´en suis pas sûre.
Bientôt passa une caravane,
Nous devions prendre le retour,
Ell´ me dit: "J´ai mal aux tatanes,
Nous partirons un autre jour."
Ainsi loin du bruit et d´la ville
Nous restames seuls dans l´oasis,
Ell´ me dit: "Tu es mon idylle"
Moi, j´lui dis: "Pourvu que je puisse."
Voyant que je suais trop,
Ell´m´dit: "Ôte ton patelot,
Car ici nous sommes dans les pays chauds.
{Refrain:}
TIMICHINE LA POUHPOUH
Sous le beau soleil d´Afrique,
Nous connûm´s des instants doux,
Tout en faisant un piqu´ nique.
Elle sentait le sable chaud,
C´était pas mon légionnaire,
Heureus´ment, ce s´rait pas beau
Si j´aimais un légionnaire.
Mais un jour ell´ m´dit: "je m´ennuie,
J´veux r´tourner à ma maison,
Ainsi partent les jeunes fill´s,
Sitôt qu´ell´s ont le bourdon,
Ell´ s´est perdue j´n´sais où,
Peut-être dans la forêt vierge,
A Saint Antoine de Padoue
Ben! j´ai fait brûler un cierge.
TIMICHINE LA POUHPOUH!!!!
TIMICHINE LA POUHPOUH!!!
TIMICHINE LA POUHPOUH!!!!!