La ballade d'alamo
par André Dassary
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Tout là-bas vers la rivière,
Où s´en vont boire les troupeaux,
Le cow-boy voit dans les pierres,
Les cabanes d´Alamo.
Une indienne à la peau rouge,
Lave ses longs cheveux dans l´eau,
Et les feuilles des arbres bougent,
Dans le calme d´Alamo.
Car le vent qui se rappelle,
Vient toujours chanter là-haut,
Ah, garçon qu´elle était belle,
La ballade d´Alamo.
Davy Crockett t´en souviens-tu?
C´était le temps des longs fusils.
Capt´ain Dick´son t´en souviens-tu?
Tu venais du Tennessee
Au village d´Alamo
Passe la rivière,
Les soldats et leurs chevaux,
Dorment, dorment près de l´eau.
Les soldats font la guerre,
Les indiens des couteaux
Et pourtant la rivière
Fait chanter, fait chanter Alamo.
Un soldat aux yeux d´enfants,
Pleure et se réveille.
Il n´a pas encore seize ans,
Il ne sera pas sergent.
Les soldats font la guerre,
Les indiens des couteaux,
Et pourtant la rivière
Fait chanter, fait chanter Alamo
On a fait un feu géant,
Plumes et tuniques
Et le diable fuit dedans
Sur le dos d´un cheval blanc.
Et le vent quand il passe,
Et le vent voit toujours,
Des amis qui s´embrassent
Et qui chantent le temps de l´amour.
Au village d´Alamo
Que la vie est douce,
Les guerriers veillent leurs troupeaux,
Et les femmes les berceaux.
L´horizon se repose,
Et l´on dit que la nuit,
Une étoile se pose,
Dans les bras, d´un soldat, endormi...
Tout là-bas vers la rivière,
Où s´en vont boire les troupeaux,
Le cow-boy voit dans les pierres,
Les cabanes d´Alamo.
Une indienne à la peau rouge,
Lave ses longs cheveux dans l´eau,
Et les feuilles des arbres bougent,
Dans le calme d´Alamo.
Car le vent qui se rappelle,
Vient toujours chanter là-haut,
Ah, garçon qu´elle était belle,
La ballade d´Alamo.
Ah, garçon qu´elle était belle,
La ballade d´Alamo.
Où s´en vont boire les troupeaux,
Le cow-boy voit dans les pierres,
Les cabanes d´Alamo.
Une indienne à la peau rouge,
Lave ses longs cheveux dans l´eau,
Et les feuilles des arbres bougent,
Dans le calme d´Alamo.
Car le vent qui se rappelle,
Vient toujours chanter là-haut,
Ah, garçon qu´elle était belle,
La ballade d´Alamo.
Davy Crockett t´en souviens-tu?
C´était le temps des longs fusils.
Capt´ain Dick´son t´en souviens-tu?
Tu venais du Tennessee
Au village d´Alamo
Passe la rivière,
Les soldats et leurs chevaux,
Dorment, dorment près de l´eau.
Les soldats font la guerre,
Les indiens des couteaux
Et pourtant la rivière
Fait chanter, fait chanter Alamo.
Un soldat aux yeux d´enfants,
Pleure et se réveille.
Il n´a pas encore seize ans,
Il ne sera pas sergent.
Les soldats font la guerre,
Les indiens des couteaux,
Et pourtant la rivière
Fait chanter, fait chanter Alamo
On a fait un feu géant,
Plumes et tuniques
Et le diable fuit dedans
Sur le dos d´un cheval blanc.
Et le vent quand il passe,
Et le vent voit toujours,
Des amis qui s´embrassent
Et qui chantent le temps de l´amour.
Au village d´Alamo
Que la vie est douce,
Les guerriers veillent leurs troupeaux,
Et les femmes les berceaux.
L´horizon se repose,
Et l´on dit que la nuit,
Une étoile se pose,
Dans les bras, d´un soldat, endormi...
Tout là-bas vers la rivière,
Où s´en vont boire les troupeaux,
Le cow-boy voit dans les pierres,
Les cabanes d´Alamo.
Une indienne à la peau rouge,
Lave ses longs cheveux dans l´eau,
Et les feuilles des arbres bougent,
Dans le calme d´Alamo.
Car le vent qui se rappelle,
Vient toujours chanter là-haut,
Ah, garçon qu´elle était belle,
La ballade d´Alamo.
Ah, garçon qu´elle était belle,
La ballade d´Alamo.