Mes habitudes
par Andréanne A. Malette
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Je ne suis sûre de rien
J´ai forcé nos mains à se tenir contre l´autre
En avoir besoin
Je suis sûre de toi
Mais j´ai peur de moi, du mal que je peux te faire
J´ai l´amour éphémère
Je retiens mes mots
Mais mes gestes parlent trop, mon pieds trouve le tiens
Comme une racine cherche l´autre
Seul corps contre esprit, contre cœur, contredit
Ça se mélange, se bouscule
Ma vie contre notre bulle
J´ai besoin de temps, d´espace, de solitude
Mais je suis bien pourtant
Tu déranges mes habitudes
Et si c´était ça une vie à deux
Un éternel combat
Ce qu´on a ou ce qu´on veut
Si ton cœur bat trop, tu me le diras et je ferai ce qu´il faut
Pour qu´il n´en meure pas
J´ai joué trop souvent à fermer des portes
Prétendre que je suis forte, faire taire ce que je ressens
J´ai besoin de temps, d´espace, de solitude
Mais je suis bien pourtant
Tu déranges mes habitudes
J´ai besoin d´air pour prendre le pour
Et toute solitaire prend ses jambes à son cou
Pour y voir clair
J´ai pensé très fort à un autre ce matin malgré mes efforts
Rien ne me retient de croire que quelque part un autre m´attend
Dis-moi comment tu le sens, si je t´aime de temps en temps
J´ai forcé nos mains à se tenir contre l´autre
En avoir besoin
Je suis sûre de toi
Mais j´ai peur de moi, du mal que je peux te faire
J´ai l´amour éphémère
Je retiens mes mots
Mais mes gestes parlent trop, mon pieds trouve le tiens
Comme une racine cherche l´autre
Seul corps contre esprit, contre cœur, contredit
Ça se mélange, se bouscule
Ma vie contre notre bulle
J´ai besoin de temps, d´espace, de solitude
Mais je suis bien pourtant
Tu déranges mes habitudes
Et si c´était ça une vie à deux
Un éternel combat
Ce qu´on a ou ce qu´on veut
Si ton cœur bat trop, tu me le diras et je ferai ce qu´il faut
Pour qu´il n´en meure pas
J´ai joué trop souvent à fermer des portes
Prétendre que je suis forte, faire taire ce que je ressens
J´ai besoin de temps, d´espace, de solitude
Mais je suis bien pourtant
Tu déranges mes habitudes
J´ai besoin d´air pour prendre le pour
Et toute solitaire prend ses jambes à son cou
Pour y voir clair
J´ai pensé très fort à un autre ce matin malgré mes efforts
Rien ne me retient de croire que quelque part un autre m´attend
Dis-moi comment tu le sens, si je t´aime de temps en temps