Qu'on le dise en argot
par Anne Vanderlove
lyricscopy.com
Qu´on le dise en argot,
Qu´on le dise en poèmes,
Que l´on change les mots,
Le fond reste le même,
Ma jeunesse a foutu le camp de par chez nous,
Le coeur n´y était plus quand elle a mis les bouts
On n´met pas à la une
De tous les journaux
Qu´il n´y a plus d´clair de lune
Pour l´ami Pierrot
Mais, à grands coups d´ciseaux, ma jeunesse se taille
Une mémoire qui défaille et qui en perd ses mots
Qu´on le dise en poèmes,
Qu´on le dise en chansons,
Qu´on le dise en bohème
A la lueur des ponts,
Ma jeunesse a foutu tous ses rêves au clou
Quand elle a mis les bouts et l´on n´en parle plus
Et j´ai ouvert ma porte
A gens de tout venant,
A vents de toutes sortes
Qui ventent mon auvent,
Mais la jeunesse avait déjà fait ses bagages
Et elle a pris le large en me laissant à quai
Qu´on le dise en argot,
Qu´on le dise en poèmes,
Que l´on change les mots,
Le fond reste le même,
Ma jeunesse a foutu le camp de par chez nous,
Le coeur n´y était plus quand elle a mis les bouts.
Qu´on le dise en poèmes,
Que l´on change les mots,
Le fond reste le même,
Ma jeunesse a foutu le camp de par chez nous,
Le coeur n´y était plus quand elle a mis les bouts
On n´met pas à la une
De tous les journaux
Qu´il n´y a plus d´clair de lune
Pour l´ami Pierrot
Mais, à grands coups d´ciseaux, ma jeunesse se taille
Une mémoire qui défaille et qui en perd ses mots
Qu´on le dise en poèmes,
Qu´on le dise en chansons,
Qu´on le dise en bohème
A la lueur des ponts,
Ma jeunesse a foutu tous ses rêves au clou
Quand elle a mis les bouts et l´on n´en parle plus
Et j´ai ouvert ma porte
A gens de tout venant,
A vents de toutes sortes
Qui ventent mon auvent,
Mais la jeunesse avait déjà fait ses bagages
Et elle a pris le large en me laissant à quai
Qu´on le dise en argot,
Qu´on le dise en poèmes,
Que l´on change les mots,
Le fond reste le même,
Ma jeunesse a foutu le camp de par chez nous,
Le coeur n´y était plus quand elle a mis les bouts.