Attendez que ma joie revienne
par Barbara
lyricscopy.com
Attendez que ma joie revienne
Et que se meure le souvenir
De cet amour de tant de peine
Qui n´en finit pas de mourir.
Avant de me dire je t´aime,
Avant que je puisse vous le dire,
Attendez que ma joie revienne,
Qu´au matin je puisse sourire.
Laissez-moi. Le chagrin m´emporte
Et je vogue sur mon délire.
Laissez-moi. Ouvrez cette porte.
Laissez-moi. Je vais revenir.
J´attendrai que ma joie revienne
Et que soit mort le souvenir
De cet amour de tant de peine
Pour lequel j´ai voulu mourir.
J´attendrai que ma joie revienne,
Qu´au matin je puisse sourire,
Que le vent ait séché ma peine
Et la nuit calmé mon délire.
Il est, paraît-il, un rivage
Où l´on guérit du mal d´aimer.
Les amours mortes y font naufrage,
Epaves mortes du passé.
Si tu veux que ma joie revienne,
Qu´au matin, je puisse sourire
Vers ce pays où meurt la peine,
Je t´en prie, laisse-moi partir.
Il faut de mes amours anciennes
Que périsse le souvenir
Pour que, libérée de ma chaîne,
Vers toi, je puisse revenir.
Alors, je t´en fais la promesse,
Ensemble nous irons cueillir
Au jardin fou de la tendresse
La fleur d´amour qui va s´ouvrir
Mais c´est trop tôt pour dire je t´aime,
Trop tôt pour te l´entendre dire.
La voix que j´entends, c´est la sienne.
Ils sont vivants, mes souvenirs.
Pardonne-moi : c´est lui que j´aime.
Le passé ne veut pas mourir.
Et que se meure le souvenir
De cet amour de tant de peine
Qui n´en finit pas de mourir.
Avant de me dire je t´aime,
Avant que je puisse vous le dire,
Attendez que ma joie revienne,
Qu´au matin je puisse sourire.
Laissez-moi. Le chagrin m´emporte
Et je vogue sur mon délire.
Laissez-moi. Ouvrez cette porte.
Laissez-moi. Je vais revenir.
J´attendrai que ma joie revienne
Et que soit mort le souvenir
De cet amour de tant de peine
Pour lequel j´ai voulu mourir.
J´attendrai que ma joie revienne,
Qu´au matin je puisse sourire,
Que le vent ait séché ma peine
Et la nuit calmé mon délire.
Il est, paraît-il, un rivage
Où l´on guérit du mal d´aimer.
Les amours mortes y font naufrage,
Epaves mortes du passé.
Si tu veux que ma joie revienne,
Qu´au matin, je puisse sourire
Vers ce pays où meurt la peine,
Je t´en prie, laisse-moi partir.
Il faut de mes amours anciennes
Que périsse le souvenir
Pour que, libérée de ma chaîne,
Vers toi, je puisse revenir.
Alors, je t´en fais la promesse,
Ensemble nous irons cueillir
Au jardin fou de la tendresse
La fleur d´amour qui va s´ouvrir
Mais c´est trop tôt pour dire je t´aime,
Trop tôt pour te l´entendre dire.
La voix que j´entends, c´est la sienne.
Ils sont vivants, mes souvenirs.
Pardonne-moi : c´est lui que j´aime.
Le passé ne veut pas mourir.