John parker lee
par Barbara
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Il s´appelait John Parker Lee,
John Parker Lee,
John Parker Lee.
Son paradis,
C´était de voyager sa vie.
Il était toujours en partance.
Il sautait
Dans ses trains de nuit,
De galaxies en galaxies,
Puis revenait en fulgurance
Nous donner à voir,
Nous donner à prendre.
Je ne peux rien
Dire de plus
De cet homme-là.
Il n´était ni mieux
Ni plus mal.
Il était different,
C´est tout.
John Parker Lee,
Le magnifique,
Venait des plaines de l´Iguana.
Brouillard ses yeux,
Brouillard sa voix,
De la brume
Aux bouts de ses doigts.
Il y a comme ça
Dans la vie
De merveilleux passagers
Qui croisent nos existences
Et nous font
L´instant de beauté
Où il nous semble
Que l´on dialogue
Avec les anges.
Il y a comme ça,
Dans la vie,
Poussière de soie,
Brillant d´étoiles,
Papillon de nuit,
De merveilleux passagers
Qui jouent
D´étranges musiques
Qui nous tanguent
Le cœur et l´âme.
John,
John,
John Parker Lee,
L´homme qui dansait sa vie
De trains de nuit,
De galaxies en galaxies.
Un jour,
Il n´est pas revenu
Mais il a laissé dans nos vies
Ses récits aux couleurs d´ambre
Et l´on chevauche nos rêves
Pour le rejoindre
Dans son univers,
Et l´on saute dans ses trains de nuit,
Et l´on roule en Super-Express,
De galaxies en galaxies,
Et l´on dialogue
Avec les anges.
Tu as bousculé nos vies,
John.
Qu´elle était belle, ta difference!
Papillon de soie,
Papillon de nuit,
John.
Vivre sa vie,
Comme on la danse.
Il s´appelait John Parker Lee,
John Parker Lee.
Il voyage
Dans ses trains de nuit,
Ailleurs
Sur d´autres galaxies.
John,
John,
John Parker Lee,
L´homme qui dansait sa vie,
De galaxies en galaxies,
Le magnifique,
John.
Il s´appelait John Parker Lee,
Venait des plaines d´Iguana,
Brouillard des yeux,
Brouillard sa voix,
John,
John,
John Parker Lee.
John Parker Lee,
John Parker Lee.
Son paradis,
C´était de voyager sa vie.
Il était toujours en partance.
Il sautait
Dans ses trains de nuit,
De galaxies en galaxies,
Puis revenait en fulgurance
Nous donner à voir,
Nous donner à prendre.
Je ne peux rien
Dire de plus
De cet homme-là.
Il n´était ni mieux
Ni plus mal.
Il était different,
C´est tout.
John Parker Lee,
Le magnifique,
Venait des plaines de l´Iguana.
Brouillard ses yeux,
Brouillard sa voix,
De la brume
Aux bouts de ses doigts.
Il y a comme ça
Dans la vie
De merveilleux passagers
Qui croisent nos existences
Et nous font
L´instant de beauté
Où il nous semble
Que l´on dialogue
Avec les anges.
Il y a comme ça,
Dans la vie,
Poussière de soie,
Brillant d´étoiles,
Papillon de nuit,
De merveilleux passagers
Qui jouent
D´étranges musiques
Qui nous tanguent
Le cœur et l´âme.
John,
John,
John Parker Lee,
L´homme qui dansait sa vie
De trains de nuit,
De galaxies en galaxies.
Un jour,
Il n´est pas revenu
Mais il a laissé dans nos vies
Ses récits aux couleurs d´ambre
Et l´on chevauche nos rêves
Pour le rejoindre
Dans son univers,
Et l´on saute dans ses trains de nuit,
Et l´on roule en Super-Express,
De galaxies en galaxies,
Et l´on dialogue
Avec les anges.
Tu as bousculé nos vies,
John.
Qu´elle était belle, ta difference!
Papillon de soie,
Papillon de nuit,
John.
Vivre sa vie,
Comme on la danse.
Il s´appelait John Parker Lee,
John Parker Lee.
Il voyage
Dans ses trains de nuit,
Ailleurs
Sur d´autres galaxies.
John,
John,
John Parker Lee,
L´homme qui dansait sa vie,
De galaxies en galaxies,
Le magnifique,
John.
Il s´appelait John Parker Lee,
Venait des plaines d´Iguana,
Brouillard des yeux,
Brouillard sa voix,
John,
John,
John Parker Lee.