La fleur, la source et l'amour
par Barbara
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Il y avait une source.
Elle serpentait sa course
Dans le creux du vallon.
Il y avait une fleur,
Il y avait une fleur
Dans le creux du vallon.
L´une à l´autre, pareilles,
Vivantes de soleil,
Une source,
Une fleur d´amour.
Il y avait des enfants
Qui allaient, s´émerveillant
Dans le creux du vallon,
Dans le plein cœur de l´été.
Il y avait des enfants
Dans le creux du vallon.
Ils regardaient la fleur
En baignant leurs pieds nus
Dedans la source,
Près de la fleur d´amour.
Une grande éclatée,
Des arbres décapités
Dans le creux du vallon
Et des enfants allongés
Dans le plein cœur de l´été,
Dans le creux du vallon.
Une source rougie
Une fleur meurtrie
Et le silence de la mort,
De la mort.
Rien ne bouge,
Pas même pas le cri d´un oiseau.
Rien ne bouge,
Pas même pas le cri d´un oiseau.
Le silence,
Le silence
Et puis
Elle est revenue, la source.
Elle a refleuri, la fleur.
Elle a refleuri, la fleur.
Elle est revenue la source.
Ils ont brûlé, piétiné,
Déraciné, endeuillé,
Mis à feu et à sang
Mais jamais ils n´y pourront rien.
Non, jamais ils n´y pourront rien.
Dans le creux du vallon,
Comme miraculée,
En plein cœur de l´été,
Près de la source,
S´ouvre la fleur d´amour.
Il y avait une source,
Il y avait une fleur,
Il y avait une fleur,
Il y avait une source
Et l´amour,
Et l´amour.
Elle est revenue, la source.
Elle a refleuri, la fleur.
Elle a refleuri, la fleur.
Elle est revenue, la source.
Elle est revenue, la source.
Elle a refleuri la fleur, la fleur
D´amour...
Elle serpentait sa course
Dans le creux du vallon.
Il y avait une fleur,
Il y avait une fleur
Dans le creux du vallon.
L´une à l´autre, pareilles,
Vivantes de soleil,
Une source,
Une fleur d´amour.
Il y avait des enfants
Qui allaient, s´émerveillant
Dans le creux du vallon,
Dans le plein cœur de l´été.
Il y avait des enfants
Dans le creux du vallon.
Ils regardaient la fleur
En baignant leurs pieds nus
Dedans la source,
Près de la fleur d´amour.
Une grande éclatée,
Des arbres décapités
Dans le creux du vallon
Et des enfants allongés
Dans le plein cœur de l´été,
Dans le creux du vallon.
Une source rougie
Une fleur meurtrie
Et le silence de la mort,
De la mort.
Rien ne bouge,
Pas même pas le cri d´un oiseau.
Rien ne bouge,
Pas même pas le cri d´un oiseau.
Le silence,
Le silence
Et puis
Elle est revenue, la source.
Elle a refleuri, la fleur.
Elle a refleuri, la fleur.
Elle est revenue la source.
Ils ont brûlé, piétiné,
Déraciné, endeuillé,
Mis à feu et à sang
Mais jamais ils n´y pourront rien.
Non, jamais ils n´y pourront rien.
Dans le creux du vallon,
Comme miraculée,
En plein cœur de l´été,
Près de la source,
S´ouvre la fleur d´amour.
Il y avait une source,
Il y avait une fleur,
Il y avait une fleur,
Il y avait une source
Et l´amour,
Et l´amour.
Elle est revenue, la source.
Elle a refleuri, la fleur.
Elle a refleuri, la fleur.
Elle est revenue, la source.
Elle est revenue, la source.
Elle a refleuri la fleur, la fleur
D´amour...