Si tu suis mon regard
par Benjamin Biolay
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Trop longtemps, cent fois trop longtemps
Que j´ suis tout seul
À fumer jusqu´au bout du filtre blanc chaque menthol
À regarder l´océan qui convole
Avec les yachts de ces millionnaires, débonnaires
Qui pissent, le ventre à l´air, dans la mer
{Refrain:}
Si tu suis mon regard, tu verras des doutes
Des gens qui partent tard, tard au bord de la route
Tu verras le soleil qui recule d´un pas
Qui devient vert bouteille et comment c´est chez moi
Trop longtemps, cent fois trop longtemps
Que je suis tout sale
Que j´attends quel que soit le temps qui m´est fatal
Que je regarde le grand mur blanc qui se décale
L´amour est un éphémère glace et verre qui casse
Dès qu´il est triangulaire
{au Refrain}
Si tu suis mon regard, tu verras des plaines
Des taxis et des gares, gares, gare à la migraine
Tu verras tout vermeil, tu verras tout plus bas
Tu liras tout Verlaine, tu rentreras chez moi
Chez moi
Trop longtemps, cent fois trop longtemps
Que j´ suis tout seul
Tout seul, tout seul
Trop longtemps, cent fois trop longtemps
Que j´ suis tout seul
Tout seul, tout seul, tout seul
Tout seul, tout seul
{au Refrain}
Si tu suis mon regard, tu verras des plaines
Des taxis et des gares, gares, gare à la migraine
Tu verras tout vermeil, tu verras tout plus bas
Tu liras tout Verlaine, tu rentreras chez moi
Chez moi, chez moi, chez moi
Tu verras tout plus bas
Que j´ suis tout seul
À fumer jusqu´au bout du filtre blanc chaque menthol
À regarder l´océan qui convole
Avec les yachts de ces millionnaires, débonnaires
Qui pissent, le ventre à l´air, dans la mer
{Refrain:}
Si tu suis mon regard, tu verras des doutes
Des gens qui partent tard, tard au bord de la route
Tu verras le soleil qui recule d´un pas
Qui devient vert bouteille et comment c´est chez moi
Trop longtemps, cent fois trop longtemps
Que je suis tout sale
Que j´attends quel que soit le temps qui m´est fatal
Que je regarde le grand mur blanc qui se décale
L´amour est un éphémère glace et verre qui casse
Dès qu´il est triangulaire
{au Refrain}
Si tu suis mon regard, tu verras des plaines
Des taxis et des gares, gares, gare à la migraine
Tu verras tout vermeil, tu verras tout plus bas
Tu liras tout Verlaine, tu rentreras chez moi
Chez moi
Trop longtemps, cent fois trop longtemps
Que j´ suis tout seul
Tout seul, tout seul
Trop longtemps, cent fois trop longtemps
Que j´ suis tout seul
Tout seul, tout seul, tout seul
Tout seul, tout seul
{au Refrain}
Si tu suis mon regard, tu verras des plaines
Des taxis et des gares, gares, gare à la migraine
Tu verras tout vermeil, tu verras tout plus bas
Tu liras tout Verlaine, tu rentreras chez moi
Chez moi, chez moi, chez moi
Tu verras tout plus bas