La mort du ché
par Bernard Lavilliers
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Allongé, les yeux grands ouverts
A l´hopital de Vallegrande
Chemise déchirée en plein air
Des tueurs aux tueurs ressemblent
Sur la photo, il posa mort
Mais on le voit bien dépassé, par l´aigle qu´ils ont accroché
Qui les ignore....
A côté il y a une école, où des gamins apprennent à lire
Posé là, un journal de bord, où tu n´a pas le temps d´écrire
Un nom de celui qui trahit, le 7 octobre en Bolivie
Près de ce mort si jeune encore,
Qui les ignore...
En octobre, 67´ dans la Sierra
Ernesto CHE GUEVARA, a prit son indépendance
En octobre, 67´ dans la Sierra
Ernesto CHE GUEVARA,
Quelle solitude quelle errance
Quelle solitude, quelle errance...
Sur la photo originale, y´a quelqu´un d´autre et un palmier
Mais la légende recadrée, garde l´étoile bien au centre
A Vallegrande, les yeux ouverts
la révolte s´est fait la paire,
Avec ce mort si jeune encore
Qui nous ignore...
Quatre balles, les poumons percés
Dans le labyrinthe d´Orphée
Cet insomniaque pulmonaire, à toujours cet air inspiré
On dort si bien avec la mort, les marchands ont canonisés
Ce romantique si jeune encore
Qui les ignore...
En octobre, 67´ dans la Sierra
Ernesto CHE GUEVARA, a prit son indépendance
En octobre, 67´ dans la Sierra
Ernesto CHE GUEVARA,
Quelle solitude quelle errance
Quelle solitude, quelle errance...
A l´hopital de Vallegrande
Chemise déchirée en plein air
Des tueurs aux tueurs ressemblent
Sur la photo, il posa mort
Mais on le voit bien dépassé, par l´aigle qu´ils ont accroché
Qui les ignore....
A côté il y a une école, où des gamins apprennent à lire
Posé là, un journal de bord, où tu n´a pas le temps d´écrire
Un nom de celui qui trahit, le 7 octobre en Bolivie
Près de ce mort si jeune encore,
Qui les ignore...
En octobre, 67´ dans la Sierra
Ernesto CHE GUEVARA, a prit son indépendance
En octobre, 67´ dans la Sierra
Ernesto CHE GUEVARA,
Quelle solitude quelle errance
Quelle solitude, quelle errance...
Sur la photo originale, y´a quelqu´un d´autre et un palmier
Mais la légende recadrée, garde l´étoile bien au centre
A Vallegrande, les yeux ouverts
la révolte s´est fait la paire,
Avec ce mort si jeune encore
Qui nous ignore...
Quatre balles, les poumons percés
Dans le labyrinthe d´Orphée
Cet insomniaque pulmonaire, à toujours cet air inspiré
On dort si bien avec la mort, les marchands ont canonisés
Ce romantique si jeune encore
Qui les ignore...
En octobre, 67´ dans la Sierra
Ernesto CHE GUEVARA, a prit son indépendance
En octobre, 67´ dans la Sierra
Ernesto CHE GUEVARA,
Quelle solitude quelle errance
Quelle solitude, quelle errance...