L'été
par Bernard Lavilliers
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Je cherchais quelques rimes quand elle m´est apparue
Cette beauté qui signe un seize de la rue
Elégante, exotique, sortie des « Fleurs du mal »
Des fumées baudelairiennes un amour marginal
Juste derrière l´épaule un tatouage digne
Malheur à qui me frôle je suis comme suis
Je suis comme je suis plaisir à qui me prend
Et dans ce jeu de rôle, je te veux maintenant
L´été était nu sur la plage et cet amour sauvage
Profondément marqué
Marqué par un été torride
Septembre semble vide
Vide et désespéré
Un été sans sommeil jusqu´à la déchirure
Le ciel noir et la mer à jamais confondus
Je pourrai dessiner toute ta chevelure
Papillons bleus et noirs de tes mèches tordues
Mais la foudre est tombée et j´en garde la brûlure
Et ce poignard de nacre dans la plaie qui me tue
Tes lèvres entrouvertes épuisent cette blessure
Où l´amour et la mort se mêlent "soniador"
L´été était nu sur la plage et cet amour sauvage
Profondément marqué
Marqué par un été torride
Septembre semble vide
Vide et désespéré
Je suis comme je suis malheur à qui me prend
Malheur à qui me frôle attention si je mens
Où l´amour et la mort se mêlent "soniador"
Cette beauté qui signe un seize de la rue
Elégante, exotique, sortie des « Fleurs du mal »
Des fumées baudelairiennes un amour marginal
Juste derrière l´épaule un tatouage digne
Malheur à qui me frôle je suis comme suis
Je suis comme je suis plaisir à qui me prend
Et dans ce jeu de rôle, je te veux maintenant
L´été était nu sur la plage et cet amour sauvage
Profondément marqué
Marqué par un été torride
Septembre semble vide
Vide et désespéré
Un été sans sommeil jusqu´à la déchirure
Le ciel noir et la mer à jamais confondus
Je pourrai dessiner toute ta chevelure
Papillons bleus et noirs de tes mèches tordues
Mais la foudre est tombée et j´en garde la brûlure
Et ce poignard de nacre dans la plaie qui me tue
Tes lèvres entrouvertes épuisent cette blessure
Où l´amour et la mort se mêlent "soniador"
L´été était nu sur la plage et cet amour sauvage
Profondément marqué
Marqué par un été torride
Septembre semble vide
Vide et désespéré
Je suis comme je suis malheur à qui me prend
Malheur à qui me frôle attention si je mens
Où l´amour et la mort se mêlent "soniador"