Attachement
par Bourvil
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Jadis, dans leur petit village
Toujours ils s´étaient adorés
Leurs rencontres étaient toujours sages
Y s´ rencontraient sans s´arrêter
Mais d´émoi essoufflés, tremblants
Afin de vivre plus longtemps
Cet instant divinement bon
Ils s´écartaient à reculons
Et quand ils se laissaient
En dedans, ils se disaient
{Refrain:}
Tu es loin de moi
Je suis loin de toi
Tu t´ennuies de moi
Je m´ennuie de toi
Toi, jolie fille
Moi, brave garçon
J´ veux pas qu´ tu t´ennuies
Pour la santé, c´est pas bon
Tu es belle, tes yeux sont bleus, ta robe est verte
Mais ne reste pas la bouche ouverte
Enfin, un jour, il la toucha
De tant d´amour, elle fut saoule
Il lui dit : Qu´est-ce que tu as?
Ah, chéri, j´ai la chair de poule!
Dès le soir même, il prit sa plume
Lui écrivit : Est-ce que tu m´aimes?
Elle lui dit : Mon cœur s´allume
Oui, je t´aime avec un grand M
Et l´ soir, quand je me couche
Dans l´oreiller, j´ cherche ta bouche
Oui mais...
{au Refrain}
Alors, quand ils se rencontrèrent
Ils s´embaffrèrent, tout attendris
S´ firent un p´tit cuic et s´ regardèrent
Sourirent, heureux de s´êt´ compris
Ils s´aimaient pour le bon motif
Y s´ marièrent encore tout naïfs
De suite, il la prit par la main
Il l´emmena un beau matin
Et le soir, dans le nid
Tout joyeux, ils ont repris
Tu n´es plus loin d´ moi
Je n´ suis plus loin d´ toi
Tu n´ t´ennuies plus d´ moi
Je n´ m´ennuie plus d´ toi
Toi, jolie fille
Moi, brave garçon
J´ crois pas qu´on s´ennuie
Pour la santé, pour la santé... c´est si bon
Toujours ils s´étaient adorés
Leurs rencontres étaient toujours sages
Y s´ rencontraient sans s´arrêter
Mais d´émoi essoufflés, tremblants
Afin de vivre plus longtemps
Cet instant divinement bon
Ils s´écartaient à reculons
Et quand ils se laissaient
En dedans, ils se disaient
{Refrain:}
Tu es loin de moi
Je suis loin de toi
Tu t´ennuies de moi
Je m´ennuie de toi
Toi, jolie fille
Moi, brave garçon
J´ veux pas qu´ tu t´ennuies
Pour la santé, c´est pas bon
Tu es belle, tes yeux sont bleus, ta robe est verte
Mais ne reste pas la bouche ouverte
Enfin, un jour, il la toucha
De tant d´amour, elle fut saoule
Il lui dit : Qu´est-ce que tu as?
Ah, chéri, j´ai la chair de poule!
Dès le soir même, il prit sa plume
Lui écrivit : Est-ce que tu m´aimes?
Elle lui dit : Mon cœur s´allume
Oui, je t´aime avec un grand M
Et l´ soir, quand je me couche
Dans l´oreiller, j´ cherche ta bouche
Oui mais...
{au Refrain}
Alors, quand ils se rencontrèrent
Ils s´embaffrèrent, tout attendris
S´ firent un p´tit cuic et s´ regardèrent
Sourirent, heureux de s´êt´ compris
Ils s´aimaient pour le bon motif
Y s´ marièrent encore tout naïfs
De suite, il la prit par la main
Il l´emmena un beau matin
Et le soir, dans le nid
Tout joyeux, ils ont repris
Tu n´es plus loin d´ moi
Je n´ suis plus loin d´ toi
Tu n´ t´ennuies plus d´ moi
Je n´ m´ennuie plus d´ toi
Toi, jolie fille
Moi, brave garçon
J´ crois pas qu´on s´ennuie
Pour la santé, pour la santé... c´est si bon