La voix du sous-sol
par Brasco
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Brasco la voix du sous-sol,
yeah, entre Paname et Gwada,
le terre-terre m´a transformé en machine de guerre,
j´attends l´occasion de m´échapper d´ma misère.
Brasco la voix du sous-sol,
un vagabond de partout et d´nulle-part,
fils de musicien, j´peux pas fuir mon destin.
Brasco la voix du sous-sol.
Mon parcours est risqué, donc j´me fie à l´instinct,
fils de musicien j´peux pas fuir mon destin.
Ma vie d´chien, a voulu m´pieger plein de fois,
j´canalyse cette amertume dans mon grain de voix.
Mon but c´est d´finir c´que mon père a commencé dans la zik,
pour sauver l´honneur, j´suis près à plonger dans l´acide.
Parce que mon rap a pris racine dans ce désert aride, mais où s´cachent les poids-lourd le Bulldozer arrive!
J´ai dosé mes rimes, posé les mines, explose les ennemis, qui me causent des ennuis.
Ils savent pas c´que j´endure, c´que j´ai parcouru, la d´où j´viens, si tu flambes trop, tu repars tout nu!
J´me suis fait respecter, la rue ma vite marqué, d´une vie de raté, corrompu à la Vic Mackey.
Il en faut plus pour me nuire, j´vais pas vous le dire en 6 langues, je veux exaucer mes veux, avec ou sans étoiles filantes.
Brasco la voix du sous-sol,
yeah, entre Paname et Gwada,
le terre-terre m´a transformé en machine de guerre,
j´attends l´occasion de m´échapper d´ma misère.
Brasco la voix du sous-sol,
un vagabond de partout et d´nulle-part,
fils de musicien, j´peux pas fuir mon destin.
Brasco la voix du sous-sol.
Un mollusque, dev´nu robuste, ça a pas été facile de sortir du blocus.
J´ecris c´que je vis, c´est pas du Balzac,
j´gratte mes textes crus avec du sang de Spartiate.
J´ai voulu faire aut´ chose, histoire de m´rachter, mais mes pêchés coutaient trop cher, ça n´a pas marché.
Le monde du travail m´a pris pour un idiot, mais j´prenais sur moi, fallait bien remplir le frigo.
J´ai bicrave aux toxicos, dépouillé les bourgeois, le chômage m´angoissait, j´ai pas eu beaucoup de choix (naaan)
C´que j´ai kiffé de ma vie d´rue, c´est la haine qui s´est déclenchée dans ma zikmu.
Le reste superflu, le bizz, les magouilles, les tasspé, elles auront du Brasco, laisse les fantasmer!
J´ai plus droit à l´erreur, des fois elle est cruelle,
bien moi, j´suis un alien si tu m´dis qu´elle est humaine.
Brasco la voix du sous-sol,
yeah, entre Paname et Gwada,
le terre-terre m´a transformé en machine de guerre,
j´attends l´occasion de m´échapper d´ma misère.
Brasco la voix du sous-sol,
un vagabond de partout et d´nulle-part,
fils de musicien, j´peux pas fuir mon destin.
Brasco la voix du sous-sol.
Excité comme la gaule d´un gorille, j´ai envie de tout pêter, comme une bombe à bord d´un boeing (timal)
Chercher à m´ralentir, c´est chercher à m´abattre, interdit aux boulets voulant s´accrocher à ma batte!
J´connais ta blague petit, tu parles de street, mais tu sors jamais d´chez toi, ta mère te tient par le slip (haannnn)
J´ai appris à être rapide, surtout quand il s´agit de faire du liquide pendant les quisdés rappliquent.
J´ai pas envie de faire le chaud, ni d´prendre des armes à feu, mêmes si j´aime les films de gangsters et les armes a feux.
Mais j´peux pas m´fier au système, entouré d´vautours, des pantins qu´on manipule avec des poupées vaudous.
Moi... j´veux juste mettre ma mif à l´abri, plus l´temps de prier dieu, dans ma religion c´est moi la Bible.
Je viens du sous-sol entre les jaloux, les embrouilles, les magouilles, les patrouilles, mes voyous!!
yeah, entre Paname et Gwada,
le terre-terre m´a transformé en machine de guerre,
j´attends l´occasion de m´échapper d´ma misère.
Brasco la voix du sous-sol,
un vagabond de partout et d´nulle-part,
fils de musicien, j´peux pas fuir mon destin.
Brasco la voix du sous-sol.
Mon parcours est risqué, donc j´me fie à l´instinct,
fils de musicien j´peux pas fuir mon destin.
Ma vie d´chien, a voulu m´pieger plein de fois,
j´canalyse cette amertume dans mon grain de voix.
Mon but c´est d´finir c´que mon père a commencé dans la zik,
pour sauver l´honneur, j´suis près à plonger dans l´acide.
Parce que mon rap a pris racine dans ce désert aride, mais où s´cachent les poids-lourd le Bulldozer arrive!
J´ai dosé mes rimes, posé les mines, explose les ennemis, qui me causent des ennuis.
Ils savent pas c´que j´endure, c´que j´ai parcouru, la d´où j´viens, si tu flambes trop, tu repars tout nu!
J´me suis fait respecter, la rue ma vite marqué, d´une vie de raté, corrompu à la Vic Mackey.
Il en faut plus pour me nuire, j´vais pas vous le dire en 6 langues, je veux exaucer mes veux, avec ou sans étoiles filantes.
Brasco la voix du sous-sol,
yeah, entre Paname et Gwada,
le terre-terre m´a transformé en machine de guerre,
j´attends l´occasion de m´échapper d´ma misère.
Brasco la voix du sous-sol,
un vagabond de partout et d´nulle-part,
fils de musicien, j´peux pas fuir mon destin.
Brasco la voix du sous-sol.
Un mollusque, dev´nu robuste, ça a pas été facile de sortir du blocus.
J´ecris c´que je vis, c´est pas du Balzac,
j´gratte mes textes crus avec du sang de Spartiate.
J´ai voulu faire aut´ chose, histoire de m´rachter, mais mes pêchés coutaient trop cher, ça n´a pas marché.
Le monde du travail m´a pris pour un idiot, mais j´prenais sur moi, fallait bien remplir le frigo.
J´ai bicrave aux toxicos, dépouillé les bourgeois, le chômage m´angoissait, j´ai pas eu beaucoup de choix (naaan)
C´que j´ai kiffé de ma vie d´rue, c´est la haine qui s´est déclenchée dans ma zikmu.
Le reste superflu, le bizz, les magouilles, les tasspé, elles auront du Brasco, laisse les fantasmer!
J´ai plus droit à l´erreur, des fois elle est cruelle,
bien moi, j´suis un alien si tu m´dis qu´elle est humaine.
Brasco la voix du sous-sol,
yeah, entre Paname et Gwada,
le terre-terre m´a transformé en machine de guerre,
j´attends l´occasion de m´échapper d´ma misère.
Brasco la voix du sous-sol,
un vagabond de partout et d´nulle-part,
fils de musicien, j´peux pas fuir mon destin.
Brasco la voix du sous-sol.
Excité comme la gaule d´un gorille, j´ai envie de tout pêter, comme une bombe à bord d´un boeing (timal)
Chercher à m´ralentir, c´est chercher à m´abattre, interdit aux boulets voulant s´accrocher à ma batte!
J´connais ta blague petit, tu parles de street, mais tu sors jamais d´chez toi, ta mère te tient par le slip (haannnn)
J´ai appris à être rapide, surtout quand il s´agit de faire du liquide pendant les quisdés rappliquent.
J´ai pas envie de faire le chaud, ni d´prendre des armes à feu, mêmes si j´aime les films de gangsters et les armes a feux.
Mais j´peux pas m´fier au système, entouré d´vautours, des pantins qu´on manipule avec des poupées vaudous.
Moi... j´veux juste mettre ma mif à l´abri, plus l´temps de prier dieu, dans ma religion c´est moi la Bible.
Je viens du sous-sol entre les jaloux, les embrouilles, les magouilles, les patrouilles, mes voyous!!