Pas fragile
par Buridane
lyricscopy.com
Parce qu´aujourd´hui des gens comptent bien plus que toi
Que j´ai du certainement les substituer à toi
Parce que j´n´ai jamais su comment me faire entendre
Si j´devais t´forcer la main ou juste te la tendre
J´ai toujours entrepris de faire le premier pas
De venir te réveiller dans tes beaux draps
Je ne dormais jamais, écrasée par ton sommeil
Du juste ou de l´injuste ou seulement d´une oreille
Ça m´aurait fait sourire en d´autres circonstances
Avec tes "tout va bien", ta maudite prévenance
Tu aime à faire l´autruche, et ce quoi qu´il m´en coûtera
L´absence à des vertus que ta présence ne connaît pas
Hier j´ai sorti mon corps tout lourd
Je l´ai baladé dans la vie
J´lui ai fait regarder tout autour
Voir comme le monde était joli
Je n´dirais pas que tu m´impressionnes
Mais que je ne sais pas trop comment tu fonctionnes
Tu m´prends de bas, y´a qu´avec moi
Que tu penses "attention", que tu prends tes précautions
Et j´te vois trembler, t´as peur, tu transpires
On dirait qu´avec moi tu t´attends toujours au pire
Je suis la bombe à, la bombe à retardement
C´est fou le pouvoir que tu me donnes à cet instant
Et tu t´enfonces, tu deviens mou
T´es trop sucré, voire t´as mauvais goût
Et je suis fatiguée de cet acharnement futile
Je reviens debout, pas fragile
Hier j´ai sorti mon corps tout lourd
Je l´ai baladé dans la vie
J´lui ai fait regarder tout autour
Voir comme le monde était joli
Parce qu´aujourd´hui des gens comptent bien plus que toi
Que j´ai bien été forcée d´apprendre à faire sans toi
Je n´oublierai jamais pourtant le sang qui nous lie
Mais ça n´fait pas de moi, non, cette fille à ta mercie
Je marcherai dès lors bien plus légère
Et j´avancerai sans remords sur tout ce que j´ai pu faire
Sur ton pardon fragile, ton extinction de voix
Et un de ces matins peut-être je sonnerais chez toi
Hier j´ai sorti mon corps tout lourd
Je l´ai baladé dans la vie
J´lui ai fait regarder tout autour
Voir comme le monde était joli
Allongée sur le sol, pour revenir à celle que je suis
Un côté terre un côté ciel pour revenir à lui
Que j´ai du certainement les substituer à toi
Parce que j´n´ai jamais su comment me faire entendre
Si j´devais t´forcer la main ou juste te la tendre
J´ai toujours entrepris de faire le premier pas
De venir te réveiller dans tes beaux draps
Je ne dormais jamais, écrasée par ton sommeil
Du juste ou de l´injuste ou seulement d´une oreille
Ça m´aurait fait sourire en d´autres circonstances
Avec tes "tout va bien", ta maudite prévenance
Tu aime à faire l´autruche, et ce quoi qu´il m´en coûtera
L´absence à des vertus que ta présence ne connaît pas
Hier j´ai sorti mon corps tout lourd
Je l´ai baladé dans la vie
J´lui ai fait regarder tout autour
Voir comme le monde était joli
Je n´dirais pas que tu m´impressionnes
Mais que je ne sais pas trop comment tu fonctionnes
Tu m´prends de bas, y´a qu´avec moi
Que tu penses "attention", que tu prends tes précautions
Et j´te vois trembler, t´as peur, tu transpires
On dirait qu´avec moi tu t´attends toujours au pire
Je suis la bombe à, la bombe à retardement
C´est fou le pouvoir que tu me donnes à cet instant
Et tu t´enfonces, tu deviens mou
T´es trop sucré, voire t´as mauvais goût
Et je suis fatiguée de cet acharnement futile
Je reviens debout, pas fragile
Hier j´ai sorti mon corps tout lourd
Je l´ai baladé dans la vie
J´lui ai fait regarder tout autour
Voir comme le monde était joli
Parce qu´aujourd´hui des gens comptent bien plus que toi
Que j´ai bien été forcée d´apprendre à faire sans toi
Je n´oublierai jamais pourtant le sang qui nous lie
Mais ça n´fait pas de moi, non, cette fille à ta mercie
Je marcherai dès lors bien plus légère
Et j´avancerai sans remords sur tout ce que j´ai pu faire
Sur ton pardon fragile, ton extinction de voix
Et un de ces matins peut-être je sonnerais chez toi
Hier j´ai sorti mon corps tout lourd
Je l´ai baladé dans la vie
J´lui ai fait regarder tout autour
Voir comme le monde était joli
Allongée sur le sol, pour revenir à celle que je suis
Un côté terre un côté ciel pour revenir à lui