Rends-toi
par Carole Masseport
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Celui qui me parlait de la fatalité
Etait prisonnier de son corps
Qui doucement allait vers la mort
Notre être si lié à nos sorts
Désordre d´émotions si fort
Doucement a glissé vers la haine
Lentement a fixé sa peine
Celui qui me parlait de la dureté des hommes
L´homme qui la subissait la perpétuait aussi
Lui qui a poussé à outrance la conscience
Crachait sur sa chance
Rejetait toute vaine croyance
Résigné à son non-sens
Il disait : "Nous sommes force captive d´elle-même
Boucle avec fin d´énergie cruelle - cruelle vie
Trahis par l´oxygène nous brûlons vifs
L´enfer est si naturel"
Insoutenable sensation
Que l´homme n´a pas de raison
D´être
Etre... est le fruit du hasard
Etre animé d´émotions bizarres
Capable de plaisir de jouissance
Ah l´insignifiance de vivre!
Vivre
Celui qui me parlait de la lucidité
Accusait la futilité de s´emparer de lui
Persuadé que le bonheur corrompt
Qu´il est l´oeuvre de notre perversion
Refusait toute satisfaction
De l´intolérable condition
Il disait : "Nous sommes force captive d´elle-même
Boucle avec fin d´énergie cruelle - cruelle vie
Trahis par l´oxygène nous brûlons vifs
L´enfer est si naturel"
Eux si durs à entendre
Toi si dur à comprendre
Et moi qui suis là à t´attendre
A la vie veux-tu te rendre?
L´infuse mélancolie
Fait partie de la vie
Mais celle-ci est un outil subtil
Fragile
Vis ton laps de temps
Vis même un peu naïvement
Pour rien consomme le présent
Mais profites-en
Une fois de plus à terre
Abattue par ta colère
Impuissante face à ton chagrin
Je me retire guérir le mien
J´ai le courage de vivre le mien
Faut du courage pour le vivre bien
Et j´ai le courage...
Etait prisonnier de son corps
Qui doucement allait vers la mort
Notre être si lié à nos sorts
Désordre d´émotions si fort
Doucement a glissé vers la haine
Lentement a fixé sa peine
Celui qui me parlait de la dureté des hommes
L´homme qui la subissait la perpétuait aussi
Lui qui a poussé à outrance la conscience
Crachait sur sa chance
Rejetait toute vaine croyance
Résigné à son non-sens
Il disait : "Nous sommes force captive d´elle-même
Boucle avec fin d´énergie cruelle - cruelle vie
Trahis par l´oxygène nous brûlons vifs
L´enfer est si naturel"
Insoutenable sensation
Que l´homme n´a pas de raison
D´être
Etre... est le fruit du hasard
Etre animé d´émotions bizarres
Capable de plaisir de jouissance
Ah l´insignifiance de vivre!
Vivre
Celui qui me parlait de la lucidité
Accusait la futilité de s´emparer de lui
Persuadé que le bonheur corrompt
Qu´il est l´oeuvre de notre perversion
Refusait toute satisfaction
De l´intolérable condition
Il disait : "Nous sommes force captive d´elle-même
Boucle avec fin d´énergie cruelle - cruelle vie
Trahis par l´oxygène nous brûlons vifs
L´enfer est si naturel"
Eux si durs à entendre
Toi si dur à comprendre
Et moi qui suis là à t´attendre
A la vie veux-tu te rendre?
L´infuse mélancolie
Fait partie de la vie
Mais celle-ci est un outil subtil
Fragile
Vis ton laps de temps
Vis même un peu naïvement
Pour rien consomme le présent
Mais profites-en
Une fois de plus à terre
Abattue par ta colère
Impuissante face à ton chagrin
Je me retire guérir le mien
J´ai le courage de vivre le mien
Faut du courage pour le vivre bien
Et j´ai le courage...