Chanson de la fumée
par Catherine Sauvage
lyricscopy.com
Jadis avant que les années ne m´aient blanchi
Je pensais qu´à celui qui est sage, tout réussit
Depuis, je sais que la sagesse, en notre monde
Jamais ne saurait contenter ventre affamé qui gronde
Aujourd´hui je dis tant pis
Si la fumée frise
S´en va vers des froids toujours plus froids
Ainsi va de soi
Voyant les honnêtes gens battus et méprisés
J´ai dit, par les voies détournées je marcherai
Hélas, de jour en jour plus bas j´ai descendu
Que faire? Où diriger mes pas? Qui donc me l´apprendra?
Aujourd´hui je dis tant pis
Si la fumée frise
S´en va vers des froids toujours plus froids
Ainsi va de soi
On dit que les vieux ont perdu jusqu´à l´espoir
Le temps qui guérit toutes choses leur fait défaut
On dit qu´aux jeunes gens le monde est grand ouvert
Hélas, on dit qu´il est ouvert sur un désert
Aujourd´hui je dis tant pis
Si la fumée frise
S´en va vers des froids toujours plus froids
Ainsi va de soi
Je pensais qu´à celui qui est sage, tout réussit
Depuis, je sais que la sagesse, en notre monde
Jamais ne saurait contenter ventre affamé qui gronde
Voyant les honnêtes gens battus et méprisés
J´ai dit, par les voies détournées je marcherai
Hélas, de jour en jour plus bas j´ai descendu
Que faire? Où diriger mes pas? Qui donc me l´apprendra?
On dit que les vieux ont perdu jusqu´à l´espoir
Le temps qui guérit toutes choses leur fait défaut
On dit qu´aux jeunes gens le monde est grand ouvert
Hélas, on dit qu´il est ouvert sur un désert