Marseille
par Céline Brémond
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C´est de la passerelle de la route littorale
Que, de tous ses embruns, elle est v´nue m´adopter
A l´aube d´un matin, à grands coups de mistral
Elle m´a embarquée, prise dans ses filets
Je me sentais alors fille de ciel et de vent
Sans amarres et sans terre pour tracer mon chemin
Sa Vieille Charité, asile des pauvres gens
M´a menée en bateau comme un "rimbohémien"
C´est, au cœur du Panier, un air d´accordéon
Ici, tous les soleils de Méditerranée
Se sont donné rancard dans le creux d´un vallon
Elle m´a transportée d´Italie à Alger
{Refrain:}
De la chaîne de l´Etoile
Marseille, tu t´éparpilles
A l´horizon des voiles
S´entrecroisent tes îles
Etoile en Bonne Mère
Tu rondeurs féminines
Des seins en pleine mer
Aux dentelles salines
C´est de la porte d´Aix que s´ouvre le voyage
Sous le corps des soldats morts pour la Liberté
Cité de la musique, des couleurs, des visages
Se croisent, se transpirent, se tatouent au henné
Les femmes sur les pelouses bercent leur vie voilée
Regardant leurs enfants se gaver de Mac Do
Alors qu´un air tzigane monte des vieux quartiers
Un paquebot avance au large du Prado
Et toi, ville lumière, avec ta Callelongue
Ton abbaye de pierre et ton temps mélangé
Tu ouvres tout entière ton regard sur le monde
J´aime tant me noyer dans ta foule métissée
{au Refrain}
Et toi, ville lumière, avec ta Callelongue
Ton abbaye de pierre et ton temps mélangé
Tu ouvres tout entière ton regard sur le monde
J´aime tant me noyer dans ta foule métissée
Que, de tous ses embruns, elle est v´nue m´adopter
A l´aube d´un matin, à grands coups de mistral
Elle m´a embarquée, prise dans ses filets
Je me sentais alors fille de ciel et de vent
Sans amarres et sans terre pour tracer mon chemin
Sa Vieille Charité, asile des pauvres gens
M´a menée en bateau comme un "rimbohémien"
C´est, au cœur du Panier, un air d´accordéon
Ici, tous les soleils de Méditerranée
Se sont donné rancard dans le creux d´un vallon
Elle m´a transportée d´Italie à Alger
{Refrain:}
De la chaîne de l´Etoile
Marseille, tu t´éparpilles
A l´horizon des voiles
S´entrecroisent tes îles
Etoile en Bonne Mère
Tu rondeurs féminines
Des seins en pleine mer
Aux dentelles salines
C´est de la porte d´Aix que s´ouvre le voyage
Sous le corps des soldats morts pour la Liberté
Cité de la musique, des couleurs, des visages
Se croisent, se transpirent, se tatouent au henné
Les femmes sur les pelouses bercent leur vie voilée
Regardant leurs enfants se gaver de Mac Do
Alors qu´un air tzigane monte des vieux quartiers
Un paquebot avance au large du Prado
Et toi, ville lumière, avec ta Callelongue
Ton abbaye de pierre et ton temps mélangé
Tu ouvres tout entière ton regard sur le monde
J´aime tant me noyer dans ta foule métissée
{au Refrain}
Et toi, ville lumière, avec ta Callelongue
Ton abbaye de pierre et ton temps mélangé
Tu ouvres tout entière ton regard sur le monde
J´aime tant me noyer dans ta foule métissée