Vent du soir
par Céline Caussimon
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J´entends le vent et je m´éveille
Demain, je sais, on dira mon histoire
"La vieille femme était si vieille
Qu´elle est partie avec le vent du soir"
Je m´en vais car je sais que le vent m´appelle
Un par un, il prend mes cheveux blancs
Je vous quitte, adieu, je dors avec le vent
Dis-moi, le vent, tu fais la ronde,
Tu cours, tu vas et moi, je restais là
Tu pousses les portes, tu vois le monde
Raconte-moi ce que je ne sais pas
Tu as vu des hommes qui tombaient à terre
Et des rois tout pleins de leur puissance
Tu as vu les hommes quand ils préfèrent se taire
Et des femmes qui pleuraient en silence
Il y a une étoile pour qui se perd au plus noir de la nuit
Il faut croire cela
Quand revient la nuit
Et attendre aussi
Je te souris, mes yeux se ferment
J´ai toujours fait ce que je croyais vrai
Tu me murmures tout bas, à peine
Tous les secrets que longtemps j´ai cherchés
Tu me dis combien le silence fait du mal
Que les mots sont nos plus belles étoiles
Que demeurent longtemps au cœur de nos enfants
Tous les rêves que l´on a dit au vent
Dans le collier d´étoiles que la nuit accrochera au ciel
Il y a des larmes
Qui ne s´oublient pas
Et l´espoir aussi
Je dois quitter la terre, emmène-moi me perdre dans la nuit
Si les poussières d´étoiles
Nous gardent la lumière
Nous n´aurons plus peur
Demain, je sais, on dira mon histoire
"La vieille femme était si vieille
Qu´elle est partie avec le vent du soir"
Je m´en vais car je sais que le vent m´appelle
Un par un, il prend mes cheveux blancs
Je vous quitte, adieu, je dors avec le vent
Dis-moi, le vent, tu fais la ronde,
Tu cours, tu vas et moi, je restais là
Tu pousses les portes, tu vois le monde
Raconte-moi ce que je ne sais pas
Tu as vu des hommes qui tombaient à terre
Et des rois tout pleins de leur puissance
Tu as vu les hommes quand ils préfèrent se taire
Et des femmes qui pleuraient en silence
Il y a une étoile pour qui se perd au plus noir de la nuit
Il faut croire cela
Quand revient la nuit
Et attendre aussi
Je te souris, mes yeux se ferment
J´ai toujours fait ce que je croyais vrai
Tu me murmures tout bas, à peine
Tous les secrets que longtemps j´ai cherchés
Tu me dis combien le silence fait du mal
Que les mots sont nos plus belles étoiles
Que demeurent longtemps au cœur de nos enfants
Tous les rêves que l´on a dit au vent
Dans le collier d´étoiles que la nuit accrochera au ciel
Il y a des larmes
Qui ne s´oublient pas
Et l´espoir aussi
Je dois quitter la terre, emmène-moi me perdre dans la nuit
Si les poussières d´étoiles
Nous gardent la lumière
Nous n´aurons plus peur