Ma ville
par Charles Trenet
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Ma ville,
C´est le clocher qu´on voit de loin.
Ma ville,
C´est du soleil dans tous les coins.
Ma ville,
C´est un ciel pur.
Ma ville,
Ce sont les rues et les maisons tranquilles,
C´est dans la mer, cette jolie presqu´île
De fleurs et de fruits mûrs.
Ma ville,
C´est, vers le soir, un grand jardin fragile
Où tout est mystérieux, mais pas hostile
Aux amoureux.
Ma ville,
C´est le printemps quand on revient
Et dans le cœur, c´est un p´tit rien,
Ma ville,
Qui fait du bien.
Le jardin du notaire
Où pouss´nt des pomm´s de terre,
Le jardin du curé,
Tout frais et récuré,
La fontain´ tout en marbre
Qui coule entre les arbres,
La fontain´ tout en bois
Où tout le monde boit.
Bonjour... Ça va... Je suis là.
Ma ville,
C´est un visage frais, des yeux
Dociles
Que je reconnaîtrais entre
Cent mille,
C´est merveilleux.
Ma ville,
C´est tout l´amour et tout le sex-appeal,
C´est la bergère et son p´tit air gracile,
C´est le charr´tier furieux.
Ma ville,
C´est les vendanges et leurs plaisirs faciles
Et tous les souvenirs, là, qui défilent
D´un pas joyeux.
Ma ville,
C´est le printemps quand on revient,
Et dans le cœur, c´est un p´tit rien,
Ma ville,
Qui fait du bien.
C´est le clocher qu´on voit de loin.
Ma ville,
C´est du soleil dans tous les coins.
Ma ville,
C´est un ciel pur.
Ma ville,
Ce sont les rues et les maisons tranquilles,
C´est dans la mer, cette jolie presqu´île
De fleurs et de fruits mûrs.
Ma ville,
C´est, vers le soir, un grand jardin fragile
Où tout est mystérieux, mais pas hostile
Aux amoureux.
Ma ville,
C´est le printemps quand on revient
Et dans le cœur, c´est un p´tit rien,
Ma ville,
Qui fait du bien.
Le jardin du notaire
Où pouss´nt des pomm´s de terre,
Le jardin du curé,
Tout frais et récuré,
La fontain´ tout en marbre
Qui coule entre les arbres,
La fontain´ tout en bois
Où tout le monde boit.
Bonjour... Ça va... Je suis là.
Ma ville,
C´est un visage frais, des yeux
Dociles
Que je reconnaîtrais entre
Cent mille,
C´est merveilleux.
Ma ville,
C´est tout l´amour et tout le sex-appeal,
C´est la bergère et son p´tit air gracile,
C´est le charr´tier furieux.
Ma ville,
C´est les vendanges et leurs plaisirs faciles
Et tous les souvenirs, là, qui défilent
D´un pas joyeux.
Ma ville,
C´est le printemps quand on revient,
Et dans le cœur, c´est un p´tit rien,
Ma ville,
Qui fait du bien.