Sur les bancs du prado
par Claire Réda
lyricscopy.com
Depuis l´éternité
Les poètes ont chanté
Tous les plus jolis coins de Marseille
Mais quand vient le printemps
Il en est un charmant
Où l´on peut passer des heures sans pareilles
Sur les bancs du Prado
A l´ombre des grands platanes
On voit lorsqu´il fait beau
Le plus vivant des tableaux
Les hommes font la belote
Tout en prenant le frais
Et les mamans tricotent
En berçant leur pitchounet
Quand le temps est trop chaud
Alors on tombe la veste
Et puis on fait la sieste
Sur les bancs du Prado
Dans ce coin merveilleux
Un couple de bons vieux
Chaque après-midi vient prendre place
En lisant leur journal
Parfois c´est machinal
Ils contemplent les amoureux qui s´enlacent
Sur les bancs du Prado
A l´ombre des grands platanes
Où leur passé bientôt
Chante ainsi qu´un doux écho
Avec un bon sourire
Ils se regardent émus
Elle semble lui dire
"Mon bon vieux t´en souviens-tu?
Ah comme il était beau
Le temps de notre jeunesse
De nos folles caresses
Sur les bancs du Prado"
Les poètes ont chanté
Tous les plus jolis coins de Marseille
Mais quand vient le printemps
Il en est un charmant
Où l´on peut passer des heures sans pareilles
Sur les bancs du Prado
A l´ombre des grands platanes
On voit lorsqu´il fait beau
Le plus vivant des tableaux
Les hommes font la belote
Tout en prenant le frais
Et les mamans tricotent
En berçant leur pitchounet
Quand le temps est trop chaud
Alors on tombe la veste
Et puis on fait la sieste
Sur les bancs du Prado
Dans ce coin merveilleux
Un couple de bons vieux
Chaque après-midi vient prendre place
En lisant leur journal
Parfois c´est machinal
Ils contemplent les amoureux qui s´enlacent
Sur les bancs du Prado
A l´ombre des grands platanes
Où leur passé bientôt
Chante ainsi qu´un doux écho
Avec un bon sourire
Ils se regardent émus
Elle semble lui dire
"Mon bon vieux t´en souviens-tu?
Ah comme il était beau
Le temps de notre jeunesse
De nos folles caresses
Sur les bancs du Prado"