Mon père
par Claude Besson
lyricscopy.com
(Claude Besson a perdu son père à l´âge de quinze ans, ses
blessures,non cicatrisées, lui ont inspiré ces poignantes paroles)
Mon Père
COUPLET 1
C´est le premier Avril Mil neuf cent soixante trois
Sous les grands marronniers,il reste un peu de froid
Les Tuileries s´éveillent,l´Hiver part en vacances
Sous le soleil timide, moi je pars en silence.
Ah!Ce premier Avril Mil neuf cent soixante trois
M´a jeté dans le cœur, le poignard de l´effroi
Toi qui m´as tout donné, jusqu´à ta ressemblance
Où es-tu aujourd´hui après tant de souffrance?
REFRAIN
Mon Père!Mon Père!
Combien j´ai douce souvenance de toi
Mon Père!Mon Père!
Combien j´ai douce souvenance de toi.
COUPLET 2
Il paraît que le temps,efface les tourments
Celui qui nous dit ça, je sais bien sûr qu´il ment
C´est un bon sentiment,qui apaise et console
Mais quand la peine est là, elle s´agrippe et se colle.
Combien de fois je rêve à ton accordéon
Chaque fois que Fanchon passe"le Vieux Léon"
Tu deviens dans l´instant,une étoile,une idole
Nous sifflons tous les deux comme des rossignols
REFRAIN
COUPLET 3
Tu m´avais prévenu, la vie c´est pas facile
On en prend des chemins, bien avant d´être habile
J´aimerais tes conseils, même à la quarantaine
La vie d´homme parfois, me semble surhumaine.
Quand les orages éclatent et que l´amour oscille
Faut-il être implacable, sévère ou docile?
Moi j´hésite souvent, mon cœur de porcelaine
Affronte tous les vents comme une harpe éolienne.
REFRAIN
blessures,non cicatrisées, lui ont inspiré ces poignantes paroles)
Mon Père
COUPLET 1
C´est le premier Avril Mil neuf cent soixante trois
Sous les grands marronniers,il reste un peu de froid
Les Tuileries s´éveillent,l´Hiver part en vacances
Sous le soleil timide, moi je pars en silence.
Ah!Ce premier Avril Mil neuf cent soixante trois
M´a jeté dans le cœur, le poignard de l´effroi
Toi qui m´as tout donné, jusqu´à ta ressemblance
Où es-tu aujourd´hui après tant de souffrance?
REFRAIN
Mon Père!Mon Père!
Combien j´ai douce souvenance de toi
Mon Père!Mon Père!
Combien j´ai douce souvenance de toi.
COUPLET 2
Il paraît que le temps,efface les tourments
Celui qui nous dit ça, je sais bien sûr qu´il ment
C´est un bon sentiment,qui apaise et console
Mais quand la peine est là, elle s´agrippe et se colle.
Combien de fois je rêve à ton accordéon
Chaque fois que Fanchon passe"le Vieux Léon"
Tu deviens dans l´instant,une étoile,une idole
Nous sifflons tous les deux comme des rossignols
REFRAIN
COUPLET 3
Tu m´avais prévenu, la vie c´est pas facile
On en prend des chemins, bien avant d´être habile
J´aimerais tes conseils, même à la quarantaine
La vie d´homme parfois, me semble surhumaine.
Quand les orages éclatent et que l´amour oscille
Faut-il être implacable, sévère ou docile?
Moi j´hésite souvent, mon cœur de porcelaine
Affronte tous les vents comme une harpe éolienne.
REFRAIN