Des souv'nirs, des souv'nirs
par Colette Renard
lyricscopy.com
Au fond de ma mémoire
Il y a de l´espoir
Et des chansons
Sans rime ni raison
Et des sourires qui font et qui refont
Mes souv´nirs, mes souv´nirs, mes souv´nirs
Il y a un gars
Qui me prend dans ses bras
En me disant
"Nous deux, c´est pour longtemps"
Et nos deux rires qui font et qui refont
Des souv´nirs, des souv´nirs, des souv´nirs
C´était à moi
Ce soldat de vingt ans aux yeux clairs
Ce grand garçon
Qui partit un jour pour faire la guerre
À coups d´ désespoirs, à coups d´ canons
Des fous, dans sa mémoire
Ont fait un grand trou noir
Jusqu´à tuer ses jeunes souvenirs
Ses souv´nirs, ses souv´nirs, ses souv´nirs
Mais de temps en temps
Les guerres sont finies
Pas pour longtemps
Car le monde s´ennuie
S´il faut d´ la gloire, pour faire l´Histoire il faut
Des souv´nirs, des souv´nirs, des souv´nirs
Quand je l´ai revu
Il ne m´a pas reconnue
M´a regardée
Comme une chose oubliée
Une inconnue
Car il avait perdu
Ses souv´nirs, ses souv´nirs, ses souv´nirs
C´était à moi
Ce soldat de vingt ans aux yeux clairs
Ce grand garçon
Qui partit un jour pour faire la guerre
J´ai ouvert mes bras, il m´a tendu la main
"Je n´ vous connais pas" m´a-t-il dit
Et plus rien... qu´un grand chagrin
Pour faire et pour refaire
Mes souv´nirs, mes souv´nirs, mes souv´nirs
Des souv´nirs, des souv´nirs, des souv´nirs
Mes souv´nirs...
Il y a de l´espoir
Et des chansons
Sans rime ni raison
Et des sourires qui font et qui refont
Mes souv´nirs, mes souv´nirs, mes souv´nirs
Il y a un gars
Qui me prend dans ses bras
En me disant
"Nous deux, c´est pour longtemps"
Et nos deux rires qui font et qui refont
Des souv´nirs, des souv´nirs, des souv´nirs
C´était à moi
Ce soldat de vingt ans aux yeux clairs
Ce grand garçon
Qui partit un jour pour faire la guerre
À coups d´ désespoirs, à coups d´ canons
Des fous, dans sa mémoire
Ont fait un grand trou noir
Jusqu´à tuer ses jeunes souvenirs
Ses souv´nirs, ses souv´nirs, ses souv´nirs
Mais de temps en temps
Les guerres sont finies
Pas pour longtemps
Car le monde s´ennuie
S´il faut d´ la gloire, pour faire l´Histoire il faut
Des souv´nirs, des souv´nirs, des souv´nirs
Quand je l´ai revu
Il ne m´a pas reconnue
M´a regardée
Comme une chose oubliée
Une inconnue
Car il avait perdu
Ses souv´nirs, ses souv´nirs, ses souv´nirs
C´était à moi
Ce soldat de vingt ans aux yeux clairs
Ce grand garçon
Qui partit un jour pour faire la guerre
J´ai ouvert mes bras, il m´a tendu la main
"Je n´ vous connais pas" m´a-t-il dit
Et plus rien... qu´un grand chagrin
Pour faire et pour refaire
Mes souv´nirs, mes souv´nirs, mes souv´nirs
Des souv´nirs, des souv´nirs, des souv´nirs
Mes souv´nirs...