Les pupilles de ma nation
par Coup D'Marron
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Moi, je négligerai tous les palaces
Tes mains ça m´va très bien, ça m´fait
Que tout ce monde qui m´appartient n´a rien de strass
Tes pieds, tout ça me sied oui mais
Mais c´qui n´m´appartient pas
J´voudrais faire valoir mes droits
C´est ton regard sans visa
Et je me fous bien des diamants sans audace
Ton corps si t´es d´accord, j´voudrais
Qu´il puisse d´un coup balayer tous les trésors fadasses
Tes traits, tous tes attraits, j´les ai
Mais c´qui manque à mon décor
J´hypothèquerai encore
Pour ton regard sans passeport
{Refrain:}
L´identité, les dents criblées vont s´user sur ton monde
Je supporte pas qu´l´Etat veuille se mêler de mes amours fécondes
Ton teint d´Orient, c´est un Coran
Une Bible de soie qui me cible et s´en va
Mes yeux ont leurs papiers
J´aurais voulu les pousser jusqu´à toi
Et vivement qu´on rigole de toutes nos vies plexiglas
Tes joues sûrement qui jouent salement
A n´faire que de doux matelas pour ma bouche en crevasse
Tes lèvres en sel qui lèvent mon ciel
Réclamant ma créance
Ce qui torture mes sens
C´est ton regard sans licence
Mais tout ton magot, ma belle, est bel et bien fugace
Ta peau s´envole en haut du sol
Leur seul triste trésor, c´est leurs dossiers dégueulasses
Je tiens pourtant tes seins mais quand
Vient ton ignoble départ
Ils sont contents tous ces connards
De leurs papiers sans regard
{au Refrain}
Tes mains ça m´va très bien, ça m´fait
Que tout ce monde qui m´appartient n´a rien de strass
Tes pieds, tout ça me sied oui mais
Mais c´qui n´m´appartient pas
J´voudrais faire valoir mes droits
C´est ton regard sans visa
Et je me fous bien des diamants sans audace
Ton corps si t´es d´accord, j´voudrais
Qu´il puisse d´un coup balayer tous les trésors fadasses
Tes traits, tous tes attraits, j´les ai
Mais c´qui manque à mon décor
J´hypothèquerai encore
Pour ton regard sans passeport
{Refrain:}
L´identité, les dents criblées vont s´user sur ton monde
Je supporte pas qu´l´Etat veuille se mêler de mes amours fécondes
Ton teint d´Orient, c´est un Coran
Une Bible de soie qui me cible et s´en va
Mes yeux ont leurs papiers
J´aurais voulu les pousser jusqu´à toi
Et vivement qu´on rigole de toutes nos vies plexiglas
Tes joues sûrement qui jouent salement
A n´faire que de doux matelas pour ma bouche en crevasse
Tes lèvres en sel qui lèvent mon ciel
Réclamant ma créance
Ce qui torture mes sens
C´est ton regard sans licence
Mais tout ton magot, ma belle, est bel et bien fugace
Ta peau s´envole en haut du sol
Leur seul triste trésor, c´est leurs dossiers dégueulasses
Je tiens pourtant tes seins mais quand
Vient ton ignoble départ
Ils sont contents tous ces connards
De leurs papiers sans regard
{au Refrain}