À force
par Cristof Gere
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A force de sourire à tes caresses avec les yeux
A force de faire semblant, d´une amitié qui sonne creux
Je n´pourrai plus
C´est sûr, je n´pourrai plus
A force de plaisanter sur une histoire qui n´avance pas
A force d´écouter des compliments que je n´veux pas
Je ne sais plus
J´te jure, je ne sais plus
Et dire qu´il n´y a pas de solution
Ou plutôt si : j´en connais une
Je ne crois plus à ce pardon
Entouré de trop de lacunes
Ne m´aime pas, je n´t´aime plus
Déteste-moi et je suis perdu
J´oublierai pas la servitude
Et je n´veux pas de certitudes
A quoi je sers sauf de te voir
Aimer un autre et y croire
Et y croire
A force de te connaître, je ne sais plus te regarder
A force de paraître ne plus vraiment m´intéresser
Je n´pourrai plus
C´est sûr, je n´pourrai plus
Et à force d´admettre que je suis passé à côté
D´une vie trop parfaite, trop idéale pour exister
Je t´ai compris
J´te jure, je t´ai compris
Et dire que tu es pleine de compassion
Devant mes doutes, le désarroi
Je n´veux plus de ton admiration
Si tu t´éloignes encore de moi
Ne m´aime pas, je n´t´aime plus
Déteste-moi et je suis perdu
J´oublierai pas la servitude
Et je n´veux pas de certitudes
A quoi je sers sauf de te voir
Aimer un autre et y croire
Et y croire
A force de faire semblant, d´une amitié qui sonne creux
Je n´pourrai plus
C´est sûr, je n´pourrai plus
A force de plaisanter sur une histoire qui n´avance pas
A force d´écouter des compliments que je n´veux pas
Je ne sais plus
J´te jure, je ne sais plus
Et dire qu´il n´y a pas de solution
Ou plutôt si : j´en connais une
Je ne crois plus à ce pardon
Entouré de trop de lacunes
Ne m´aime pas, je n´t´aime plus
Déteste-moi et je suis perdu
J´oublierai pas la servitude
Et je n´veux pas de certitudes
A quoi je sers sauf de te voir
Aimer un autre et y croire
Et y croire
A force de te connaître, je ne sais plus te regarder
A force de paraître ne plus vraiment m´intéresser
Je n´pourrai plus
C´est sûr, je n´pourrai plus
Et à force d´admettre que je suis passé à côté
D´une vie trop parfaite, trop idéale pour exister
Je t´ai compris
J´te jure, je t´ai compris
Et dire que tu es pleine de compassion
Devant mes doutes, le désarroi
Je n´veux plus de ton admiration
Si tu t´éloignes encore de moi
Ne m´aime pas, je n´t´aime plus
Déteste-moi et je suis perdu
J´oublierai pas la servitude
Et je n´veux pas de certitudes
A quoi je sers sauf de te voir
Aimer un autre et y croire
Et y croire