Le retour du rose
par Da Silva
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Tu dis que la coupe est pleine
Que les coups pleuvent droit devant
Plus rien non plus rien ne t´apaise
Ni le tonnerre, pas même le vent
Mais je connais bien tes peines
C´est l´air du temps: va, droit devant.
De la fumée plein les écrans
Au service des illusions
A cache-cache l´on joue, l´on mise gros
Sur le retour du rose et pourtant
Ce sont les bleus que l´on se traine
Et c´est un bleu qui s´étend.
Mais je connais trop cet air
Il est temps de prendre le vent
Je connais bien ces bleus, ces plaines
Où vont se perdre nos élans
Puisqu´il nous faudra de la veine
Et que plus rien ne peut attendre
Tendre les mains droit vers le ciel
File au devant.
Tu dis que rien n´est égal
Qu´à la course au bonheur, tu te perds
Liberté, misère, capital
fraternité des coups de pieds
Sache qu´au pays de l´or
On ne rend jamais la monnaie
Quelques pépites dans les yeux
Le jour de nos adieux
Peu de lumière serre mes mains
C´est aujourd´hui, va, c´est certain
Ne prends que les grands trains
Mais je connais trop cet air
Il est temps de prendre le vent
Je connais bien ces bleus, ces plaines
Où vont se perdre nos élans
Puisqu´il nous faudra de la veine
Et que plus rien ne peut attendre
Tendre les mains droit vers le ciel
File au devant.
Mais je connais trop cet air
Il est temps de prendre le vent
Je connais bien ces bleus, ces plaines
Où vont se perdre nos élans
Puisqu´il nous faudra de la veine
Et que plus rien ne peut attendre
Tendre les mains droit vers le ciel
File au devant.
Que les coups pleuvent droit devant
Plus rien non plus rien ne t´apaise
Ni le tonnerre, pas même le vent
Mais je connais bien tes peines
C´est l´air du temps: va, droit devant.
De la fumée plein les écrans
Au service des illusions
A cache-cache l´on joue, l´on mise gros
Sur le retour du rose et pourtant
Ce sont les bleus que l´on se traine
Et c´est un bleu qui s´étend.
Mais je connais trop cet air
Il est temps de prendre le vent
Je connais bien ces bleus, ces plaines
Où vont se perdre nos élans
Puisqu´il nous faudra de la veine
Et que plus rien ne peut attendre
Tendre les mains droit vers le ciel
File au devant.
Tu dis que rien n´est égal
Qu´à la course au bonheur, tu te perds
Liberté, misère, capital
fraternité des coups de pieds
Sache qu´au pays de l´or
On ne rend jamais la monnaie
Quelques pépites dans les yeux
Le jour de nos adieux
Peu de lumière serre mes mains
C´est aujourd´hui, va, c´est certain
Ne prends que les grands trains
Mais je connais trop cet air
Il est temps de prendre le vent
Je connais bien ces bleus, ces plaines
Où vont se perdre nos élans
Puisqu´il nous faudra de la veine
Et que plus rien ne peut attendre
Tendre les mains droit vers le ciel
File au devant.
Mais je connais trop cet air
Il est temps de prendre le vent
Je connais bien ces bleus, ces plaines
Où vont se perdre nos élans
Puisqu´il nous faudra de la veine
Et que plus rien ne peut attendre
Tendre les mains droit vers le ciel
File au devant.