Ne le dis a personne et personne ne le saura
par Deportivo
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L´été, l´été souverain peut bien nous bercer
Tout le long des rues, sillonne-les, sillonne-les
C´est drôle en l´absence, de freins si tu penses
Qu´on peut arrêter
Oh arrêter
Oh ne prends rien, ça vaut mieux
Ca ne changera rien
Du moins
Si il pleut, oh si tu veux bien
J´irai visiter les villes qu´on avait survolées, survolées
C´est drôle en l´absence, de fin si tu penses
Qu´on doit arrêter
Oh arrêter
Oh ne prends rien, non, ça vaut mieux
Ca ne changera rien
Du moins, si il pleut
Prends l´argent
Allez, Fous le camp
Divise ça en mille si tu veux
Si ça va trop vite oh dis-le!
Les promesses, ma jeunesse
J´aime encore l´été délicieux
Les rives et les printemps heureux
La bohème, oh la bohème
Tout le long des rues, sillonne-les, sillonne-les
C´est drôle en l´absence, de freins si tu penses
Qu´on peut arrêter
Oh arrêter
Oh ne prends rien, ça vaut mieux
Ca ne changera rien
Du moins
Si il pleut, oh si tu veux bien
J´irai visiter les villes qu´on avait survolées, survolées
C´est drôle en l´absence, de fin si tu penses
Qu´on doit arrêter
Oh arrêter
Oh ne prends rien, non, ça vaut mieux
Ca ne changera rien
Du moins, si il pleut
Prends l´argent
Allez, Fous le camp
Divise ça en mille si tu veux
Si ça va trop vite oh dis-le!
Les promesses, ma jeunesse
J´aime encore l´été délicieux
Les rives et les printemps heureux
La bohème, oh la bohème