Le petit joujou d'amour
par Divers
lyricscopy.com
Paris gaiement était en fête
C´était un soir de nouvel an
Elle passait, simple et coquette,
Il l´accosta très gentiment
Ce n´était pas une princesse
Lui n´était qu´un simple étudiant
Mais on n´a pas besoin d´richesses
Quand le cœur parle à dix-huit ans
Elle l´aimait sincèrement
Et quand elle lui disait
Toi, m´aimes tu vraiment?
Moqueur, il répondait :
Non tu n´es pour moi qu´une poupée,
Qu´un petit joujou de rien du tout
Bien enrubannée et parfumée
Que j´ai choisi gaiement
Un soir de nouvel an
Mais ce n´est au fond qu´une amourette
Et ça durera ce qu´ça voudra
Puis lorsque sera finie la fête
Quand le béguin passera
Adieu on se quittera
Le cœur des femmes est un mystère
Car ce fût le petit trottin
Qui dit un soir l´âme légère
Adieu, je partirai demain
C´est bon, dit-il, je fus trop rosse
Voici tes lettres et photos
Mais aussitôt comme un grand gosse
Il éclata en lourds sanglots
Tu pleures? lui dit-elle
Ce n´est pas sérieux vraiment
Ca n´en vaut pas la peine,
Car dans notre roman :
Je n´étais pour toi qu´une poupée,
Qu´un petit joujou de rien du tout
Bien enrubannée et parfumée
Que tu choisis gaiement
Un soir de nouvel an
Mais ce n´était au fond qu´une amourette
Tu l´disais toi-même bien souvent
Pour la femme aussi le béguin passe
Nous sommes quitte, je crois,
Adieu et oublie-moi
Il connut toutes les tristesses
Et ce qu´on souffre par l´amour
Et pour retrouver sa maîtresse
Il fouilla Paris nuit et jour
Or un soir, sous la lune claire
Au bras d´un autre, il vit passer
Celle qui fut sa vie entière
Ce joujou qu´il avait brisé
Et quand elle fut seule,
Il la prit dans ses bras,
La serrant sur son cœur,
Doucement il murmura :
Tu n´es plus pour moi une poupée,
Mais un cher joujou dont je suis fou
Et par toi ma vie est parfumée
Dis, ne me quitte plus
Ou j´en mourrai! Vois-tu,
J´ai ri de l´amour
C´était folie
Car sans le savoir dès l´premier jour
Je t´avais donné toute ma vie
Tu resteras toujours
Mon petit joujou d´amour.
C´était un soir de nouvel an
Elle passait, simple et coquette,
Il l´accosta très gentiment
Ce n´était pas une princesse
Lui n´était qu´un simple étudiant
Mais on n´a pas besoin d´richesses
Quand le cœur parle à dix-huit ans
Elle l´aimait sincèrement
Et quand elle lui disait
Toi, m´aimes tu vraiment?
Moqueur, il répondait :
Non tu n´es pour moi qu´une poupée,
Qu´un petit joujou de rien du tout
Bien enrubannée et parfumée
Que j´ai choisi gaiement
Un soir de nouvel an
Mais ce n´est au fond qu´une amourette
Et ça durera ce qu´ça voudra
Puis lorsque sera finie la fête
Quand le béguin passera
Adieu on se quittera
Le cœur des femmes est un mystère
Car ce fût le petit trottin
Qui dit un soir l´âme légère
Adieu, je partirai demain
C´est bon, dit-il, je fus trop rosse
Voici tes lettres et photos
Mais aussitôt comme un grand gosse
Il éclata en lourds sanglots
Tu pleures? lui dit-elle
Ce n´est pas sérieux vraiment
Ca n´en vaut pas la peine,
Car dans notre roman :
Je n´étais pour toi qu´une poupée,
Qu´un petit joujou de rien du tout
Bien enrubannée et parfumée
Que tu choisis gaiement
Un soir de nouvel an
Mais ce n´était au fond qu´une amourette
Tu l´disais toi-même bien souvent
Pour la femme aussi le béguin passe
Nous sommes quitte, je crois,
Adieu et oublie-moi
Il connut toutes les tristesses
Et ce qu´on souffre par l´amour
Et pour retrouver sa maîtresse
Il fouilla Paris nuit et jour
Or un soir, sous la lune claire
Au bras d´un autre, il vit passer
Celle qui fut sa vie entière
Ce joujou qu´il avait brisé
Et quand elle fut seule,
Il la prit dans ses bras,
La serrant sur son cœur,
Doucement il murmura :
Tu n´es plus pour moi une poupée,
Mais un cher joujou dont je suis fou
Et par toi ma vie est parfumée
Dis, ne me quitte plus
Ou j´en mourrai! Vois-tu,
J´ai ri de l´amour
C´était folie
Car sans le savoir dès l´premier jour
Je t´avais donné toute ma vie
Tu resteras toujours
Mon petit joujou d´amour.