Sombre
par Eiffel
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Il ne restait que des mouchoirs
Avec des noeuds pour y penser
Les mains dans les poches d´hier soir
On finissait par oublier
On ne regardait plus sous les jupes
On les avait sauvegardées
A la mémoire qui se décuple
A la virtualité
On avait reporté à plus tard
La grande traversée des illusions
Menu du jour, cliquez nuit noire
Et regardez mourir les saisons
Prends ma main si tu les aimes un peu froides
A travers les silhouettes, on voit les ombres
Je te prendrai en schéhérazade
Si tu es la vie et qu´il y fait moins
Sombre Sombre
C´était en l´an 2001
Avec leurs "offres soumises à conditions"
Et le rêve en haillons
Non je n´ai pas dit "le rêve Américain"
Rien d´important et l´amour importun
Veuillez agréer quelques agressions
Laisser libre cours aux actions
Et ne plus penser par vous-même
On vous dira combien coûtent les chrysanthèmes
A déposer sur la tombe du futur
A moins qu´il n´y ait brèches dans les murs
A moins qu´il n´y ait brèches dans les murs
Prends ma main...
Sombre, sombre, sombre...
Prens ma main...
C´était en l´an 2001
On nous trouvait trop manièrés
On nous trouvait trop exaltés
La bande de petits cons
Mais en attendant
Il ne restait que des mouchoirs
Avec des noeuds pour y penser
Avec des noeuds pour y penser...
Et les noeuds se défaisaient,
Et les noeuds se défaisaient,
Et les noeuds se défaisaient,
Et les noeuds se défaisaient...
Avec des noeuds pour y penser
Les mains dans les poches d´hier soir
On finissait par oublier
On ne regardait plus sous les jupes
On les avait sauvegardées
A la mémoire qui se décuple
A la virtualité
On avait reporté à plus tard
La grande traversée des illusions
Menu du jour, cliquez nuit noire
Et regardez mourir les saisons
Prends ma main si tu les aimes un peu froides
A travers les silhouettes, on voit les ombres
Je te prendrai en schéhérazade
Si tu es la vie et qu´il y fait moins
Sombre Sombre
C´était en l´an 2001
Avec leurs "offres soumises à conditions"
Et le rêve en haillons
Non je n´ai pas dit "le rêve Américain"
Rien d´important et l´amour importun
Veuillez agréer quelques agressions
Laisser libre cours aux actions
Et ne plus penser par vous-même
On vous dira combien coûtent les chrysanthèmes
A déposer sur la tombe du futur
A moins qu´il n´y ait brèches dans les murs
A moins qu´il n´y ait brèches dans les murs
Prends ma main...
Sombre, sombre, sombre...
Prens ma main...
C´était en l´an 2001
On nous trouvait trop manièrés
On nous trouvait trop exaltés
La bande de petits cons
Mais en attendant
Il ne restait que des mouchoirs
Avec des noeuds pour y penser
Avec des noeuds pour y penser...
Et les noeuds se défaisaient,
Et les noeuds se défaisaient,
Et les noeuds se défaisaient,
Et les noeuds se défaisaient...