Princesse micomiconne
par Elisabeth Caumont
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Et si tout était vain
Si, ma vie durant,
Je n´avais pourfendu que du vent
Et si tous mes moulins
Chevalier errant
Se révélaient mirage aberrant
Du vent, du vent, du vent
Rien que du vent
Conquérant de l´inutile
Dressant grand mes bras, je tournoie
Je tournoie, je me crois, je me vois, je me dois, je me vois
Dispensant mon art futile
Je me vois, héros qui guerroie
Batailler, me frayer, ferrailler, dérailler, me noyer
Quand mon armure rutile
Se peut-il que je me fourvoie?
Toi qui m´es fidèle, si la vérité est telle, dis-le-moi!
Compagnon modèle qui partage mes périls et mes exploits
Toi, mon ami cher, toi qui déjoues mes chimères
Avec toi
Je braverai les vents et les marées
Et les plus beaux châteaux en Espagne, j´édifierai
Mais si tout était vain
Si, ma vie durant,
Je n´avais pourfendu que du vent
Et si tous mes moulins
Mirage aberrant
S´avéraient, rêve désespérant,
Du vent, du vent
Mon sourire de bon augure
Dissimule un cœur affligé
Cacher ma triste figure
Toujours, je m´y suis obligée
Et négliger les blessures
Montrant mon orgueil outragé
Toi, fidèle, si la vérité est telle, dis-le-moi
Compagnon modèle qui partage mes périls et mes exploits
Avec toi, mon frère, toi que la raison éclaire
Avec toi
Face à l´adversité, je tiendrai bon
Contre bonne ou mauvaise fortune, je ferai front
Si, ma vie durant,
Je n´avais pourfendu que du vent
Et si tous mes moulins
Chevalier errant
Se révélaient mirage aberrant
Du vent, du vent, du vent
Rien que du vent
Conquérant de l´inutile
Dressant grand mes bras, je tournoie
Je tournoie, je me crois, je me vois, je me dois, je me vois
Dispensant mon art futile
Je me vois, héros qui guerroie
Batailler, me frayer, ferrailler, dérailler, me noyer
Quand mon armure rutile
Se peut-il que je me fourvoie?
Toi qui m´es fidèle, si la vérité est telle, dis-le-moi!
Compagnon modèle qui partage mes périls et mes exploits
Toi, mon ami cher, toi qui déjoues mes chimères
Avec toi
Je braverai les vents et les marées
Et les plus beaux châteaux en Espagne, j´édifierai
Mais si tout était vain
Si, ma vie durant,
Je n´avais pourfendu que du vent
Et si tous mes moulins
Mirage aberrant
S´avéraient, rêve désespérant,
Du vent, du vent
Mon sourire de bon augure
Dissimule un cœur affligé
Cacher ma triste figure
Toujours, je m´y suis obligée
Et négliger les blessures
Montrant mon orgueil outragé
Toi, fidèle, si la vérité est telle, dis-le-moi
Compagnon modèle qui partage mes périls et mes exploits
Avec toi, mon frère, toi que la raison éclaire
Avec toi
Face à l´adversité, je tiendrai bon
Contre bonne ou mauvaise fortune, je ferai front