Sortie d´un rêve éphémère
Elle m´est apparue irréelle
Comme un ange tombé du ciel.
Elle est encrée dans ma chair.
D´un souffle sur la Terre
Avec ma vie elle s´est enfuie;
Mon coeur, désormais de pierre,
Sculpté à son effigie.

J´ai perdu celle
Qui me donnait des ailes.
Partie où je ne sais pas,
Surement loin de moi.
J´ai perdu celle
Qui me donnait des ailes.
Partie où je ne sais pas,
Surement vers l´au-delà.
Je suis seul.

Son visage ne cesse
De venir hanter mes pensées.
Je ressens ses moindres caresses
Et rêve d´elle à mes côtés.
La douleur se perd
Au plus profond de moi,
Elle m´enlace et me serre
Et m´achève au creux de ses bras.

J´ai perdu celle
Qui me donnait des ailes.
Partie où je ne sais pas,
Surement loin de moi.
J´ai perdu celle
Qui me donnait des ailes.
Partie où je ne sais pas,
Surement vers l´au-delà.
Je suis seul.
Je suis seul.

J´ai perdu celle
Qui me donnait des ailes.
Partie où je ne sais pas,
Surement loin de moi.
J´ai perdu celle
Qui me donnait des ailes.
Partie où je ne sais pas,
Surement vers l´au-delà.
Je suis seul.
Je suis seul.

Je suis seul.