Naoiq
par Etyl
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Je ne dois pas être aimable
Puisque tu ne m´aimes pas
Mon côté confortable
Ne contrebalance pas
Ni la taille du manque
Ni la force de son poids
J´aurais pourtant fait n´importe quoi
J´ai porté du bleu
Pour déteindre mes yeux
Coupé mes cheveux
Pour avoir l´air sérieux
J´aurais changé de parfum
Si je connaissais le sien
Je voulais tellement que tu sois mien
J´ai continué à croire, pauvre idiote,
Que le temps resterait notre antidote
J´ai fait ce que j´ai pu pour t´apaiser
Ce n´était jamais suffisant, jamais assez
Ca ne pouvait plus durer,
Mais qu´est-ce qui m´a pris
De tellement m´abimer, de m´effacer ainsi?
Mais qu´est-ce qui m´a pris?
Je suis allée trop loin
Pour que tu l´oublies
Je suis devenue ce rien,
Cette poupée qui dit oui
T´aurais dû réagir,
M´arrêter, me faire fuir
Pas nous regarder devenir n´importe quoi
J´ai continué à croire, pauvre idiote,
Que le temps resterait notre antidote
J´ai fait ce que j´ai pu pour t´apaiser
Ce n´était jamais suffisant, jamais assez
Ca ne pouvait plus durer,
Mais qu´est-ce qui m´a pris
De tellement m´abimer, de m´effacer ainsi?
Mais qu´est-ce qui m´a pris?
Ca ne pouvait plus durer,
Mais qu´est-ce qui m´a pris
De tellement m´abimer, de m´effacer ainsi?
Mais qu´est-ce qui m´a pris?
Puisque tu ne m´aimes pas
Mon côté confortable
Ne contrebalance pas
Ni la taille du manque
Ni la force de son poids
J´aurais pourtant fait n´importe quoi
J´ai porté du bleu
Pour déteindre mes yeux
Coupé mes cheveux
Pour avoir l´air sérieux
J´aurais changé de parfum
Si je connaissais le sien
Je voulais tellement que tu sois mien
J´ai continué à croire, pauvre idiote,
Que le temps resterait notre antidote
J´ai fait ce que j´ai pu pour t´apaiser
Ce n´était jamais suffisant, jamais assez
Ca ne pouvait plus durer,
Mais qu´est-ce qui m´a pris
De tellement m´abimer, de m´effacer ainsi?
Mais qu´est-ce qui m´a pris?
Je suis allée trop loin
Pour que tu l´oublies
Je suis devenue ce rien,
Cette poupée qui dit oui
T´aurais dû réagir,
M´arrêter, me faire fuir
Pas nous regarder devenir n´importe quoi
J´ai continué à croire, pauvre idiote,
Que le temps resterait notre antidote
J´ai fait ce que j´ai pu pour t´apaiser
Ce n´était jamais suffisant, jamais assez
Ca ne pouvait plus durer,
Mais qu´est-ce qui m´a pris
De tellement m´abimer, de m´effacer ainsi?
Mais qu´est-ce qui m´a pris?
Ca ne pouvait plus durer,
Mais qu´est-ce qui m´a pris
De tellement m´abimer, de m´effacer ainsi?
Mais qu´est-ce qui m´a pris?