Quand tu chantais
par Eva Lopez
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Quand tu chantais
La salle alors faisait silence
Pour écouter la belle histoire
L´histoire des amants d´un jour
Quand tu chantais
Tes mains s´élevaient lentement
Pareilles à ces colombes blanches
Qui s´envolent au ciel le dimanche
Quand tu chantais
C´était un port, c´était l´escale
C´était les filles au cœur chagrin
S´arrachant des bras d´un marin
Qui repartait
Au p´tit matin
Vers son destin
Quand tu chantais
Je m´enfermais seule dans ma chambre
Où je fredonnais doucement
La vie en rose ou bien padam
Tout en rêvant
Je t´imaginais sur la scène
Fragile dans ta robe noire
Où brillait une croix d´argent
Ta voix brisée
Évoquait les joies et les peines
De ces pauvres enfants qui s´aiment
Dans ce p´tit hôtel des faubourgs
Puis éclatait, pure et profonde
Pour nous inviter dans la ronde
De leurs amours
Je viens parfois
Déposer un bouquet de roses
Près de l´endroit
Où tu reposes
Loin des lumières maintenant
Et je me dis
J´aurais tant voulu te connaître
Milord aurait bercé peut-être
Les rêves fous de mes vingt ans
Mais à présent, dans les grands espaces tranquilles
Tu as rejoint l´homme aux mains d´argile
Et pour toujours
Ta voix déchirée, magnifique
Sublimera, pathétique
L´hymne à l´amour
La salle alors faisait silence
Pour écouter la belle histoire
L´histoire des amants d´un jour
Quand tu chantais
Tes mains s´élevaient lentement
Pareilles à ces colombes blanches
Qui s´envolent au ciel le dimanche
Quand tu chantais
C´était un port, c´était l´escale
C´était les filles au cœur chagrin
S´arrachant des bras d´un marin
Qui repartait
Au p´tit matin
Vers son destin
Quand tu chantais
Je m´enfermais seule dans ma chambre
Où je fredonnais doucement
La vie en rose ou bien padam
Tout en rêvant
Je t´imaginais sur la scène
Fragile dans ta robe noire
Où brillait une croix d´argent
Ta voix brisée
Évoquait les joies et les peines
De ces pauvres enfants qui s´aiment
Dans ce p´tit hôtel des faubourgs
Puis éclatait, pure et profonde
Pour nous inviter dans la ronde
De leurs amours
Je viens parfois
Déposer un bouquet de roses
Près de l´endroit
Où tu reposes
Loin des lumières maintenant
Et je me dis
J´aurais tant voulu te connaître
Milord aurait bercé peut-être
Les rêves fous de mes vingt ans
Mais à présent, dans les grands espaces tranquilles
Tu as rejoint l´homme aux mains d´argile
Et pour toujours
Ta voix déchirée, magnifique
Sublimera, pathétique
L´hymne à l´amour