La senteur de l'aubépine
par Fabienne Elkoubi
lyricscopy.com
La senteur de l´aubépine
Et le chant des mandolines
Quelques notes cristallines
Qui s´égrènent dans le soir
Viennent doucement bercer ma mémoire
Je me souviens de ma mère
Qui fredonnait des chansons
Je me souviens de mon père
Qui retrouvait sa maison
Un peu fatigué mais heureux, simplement
La vie s´écoulait tranquille
Harmonie, magie, douceur et beauté
J´aimais flâner dans ma ville
Courir dans les champs de blé
La vie semblait si facile
Le ciel bleu, le soleil nous faisaient chanter
Ce bonheur était fragile
Le feu et le sang ont rougi les oliviers
Un jour, il fallut partir
Dire adieu à la maison
Laisser là nos souvenirs
Abandonner nos moissons
Suivre le chemin des gens déracinés
Ma mère fredonne aujourd´hui
Les chansons de son pays
Mon père est toujours tranquille
Il semble oublier sa ville
Mais je sais qu´il ment
Quand je lis dans son regard
La vie n´est plus si facile
Dans ces villes où les cœurs vivent en prison
Loin des vérités tranquilles
Loin du calme tendre des saisons
Le bonheur est plus fragile
Nostalgie, souvenirs et mélancolie
Je flâne toujours dans la ville
Je rêve et la Seine me ramène au pays
La senteur de l´aubépine
Je vous l´offre, mes amis,
Mes violons, mes mandolines
Vous font fête et c´est la vie
La senteur de l´aubépine
Je vous l´offre, mes amis,
Tant qu´il reste dans la tête
De l´espoir, il y a la vie
Et le chant des mandolines
Quelques notes cristallines
Qui s´égrènent dans le soir
Viennent doucement bercer ma mémoire
Je me souviens de ma mère
Qui fredonnait des chansons
Je me souviens de mon père
Qui retrouvait sa maison
Un peu fatigué mais heureux, simplement
La vie s´écoulait tranquille
Harmonie, magie, douceur et beauté
J´aimais flâner dans ma ville
Courir dans les champs de blé
La vie semblait si facile
Le ciel bleu, le soleil nous faisaient chanter
Ce bonheur était fragile
Le feu et le sang ont rougi les oliviers
Un jour, il fallut partir
Dire adieu à la maison
Laisser là nos souvenirs
Abandonner nos moissons
Suivre le chemin des gens déracinés
Ma mère fredonne aujourd´hui
Les chansons de son pays
Mon père est toujours tranquille
Il semble oublier sa ville
Mais je sais qu´il ment
Quand je lis dans son regard
La vie n´est plus si facile
Dans ces villes où les cœurs vivent en prison
Loin des vérités tranquilles
Loin du calme tendre des saisons
Le bonheur est plus fragile
Nostalgie, souvenirs et mélancolie
Je flâne toujours dans la ville
Je rêve et la Seine me ramène au pays
La senteur de l´aubépine
Je vous l´offre, mes amis,
Mes violons, mes mandolines
Vous font fête et c´est la vie
La senteur de l´aubépine
Je vous l´offre, mes amis,
Tant qu´il reste dans la tête
De l´espoir, il y a la vie