Les murs porteurs
par Florent Pagny
lyricscopy.com
Passé la folie des grandeurs
L´envie de jouer les grands seigneurs
Passé l´ivresse, passée l´ardeur
Quand les fruits n´ont plus de saveurs
Revenu de sept ans de malheurs
D´un accouchement dans la douleur
Lassé de mentir, de faire l´acteur
Quand on est plus à la hauteur
[Refrain] :
Reste les murs porteurs
Des amis en béton
Un frère, une petite sœur
Pour voir à l´horizon
Reste les murs porteurs
Pour tenir la maison
Pour surmonter ses peurs
Ou vaincre ses démons
Des promesses la main sur le cœur
Plus fort que d´être le meilleur
Perdu dans le collimateur
Qu´on soit soldat ou déserteur
Des candy gravés dans le cœur
Des milliers d´heures de vol au compteur
Des beaux discours, des beaux parleurs
Qu´on soit dans le flou ou dans l´erreur
[Refrain]
De jouer les durs, les cascadeurs
Des souvenirs hauts en couleur
De l´utopie d´un monde meilleur
De tout c´qu´on a appris par cœur
Reste les murs porteurs
Pour se couper du vent
Pour tenir la longueur
Faire face aux tremblements
Reste les murs porteurs
Pour s´abriter du froid
Pour conjurer l´malheur
Et retrouver sa voie
L´envie de jouer les grands seigneurs
Passé l´ivresse, passée l´ardeur
Quand les fruits n´ont plus de saveurs
Revenu de sept ans de malheurs
D´un accouchement dans la douleur
Lassé de mentir, de faire l´acteur
Quand on est plus à la hauteur
[Refrain] :
Reste les murs porteurs
Des amis en béton
Un frère, une petite sœur
Pour voir à l´horizon
Reste les murs porteurs
Pour tenir la maison
Pour surmonter ses peurs
Ou vaincre ses démons
Des promesses la main sur le cœur
Plus fort que d´être le meilleur
Perdu dans le collimateur
Qu´on soit soldat ou déserteur
Des candy gravés dans le cœur
Des milliers d´heures de vol au compteur
Des beaux discours, des beaux parleurs
Qu´on soit dans le flou ou dans l´erreur
[Refrain]
De jouer les durs, les cascadeurs
Des souvenirs hauts en couleur
De l´utopie d´un monde meilleur
De tout c´qu´on a appris par cœur
Reste les murs porteurs
Pour se couper du vent
Pour tenir la longueur
Faire face aux tremblements
Reste les murs porteurs
Pour s´abriter du froid
Pour conjurer l´malheur
Et retrouver sa voie