Chauffard
par Francis Cabrel
lyricscopy.com
Y a les bandes blanches qui défilent
Et ta vie qui s´accroche à son fil
Tu es dans la zone rouge du compteur
Mais tu ne t´occupes plus des couleurs
Il faut surtout pas que tes mains tremblent
Y a les troncs des arbres qui t´attendent
Même dans les passages difficiles
Y a les bandes blanches qui défilent
Y a le vent qui siffle sous les tôles
Et le cri des pneus quand tu décolles
Et derrière toi la nuit qui retombe
Sur le sillage étroit de ta bombe
Est-ce que c´est ton cœur qui fait hurler la machine
Ou bien le moteur qui bat dans ta poitrine
Et qui propulse ton projectile
Entre les bandes blanches qui défilent
Chauffard
Tu vois le monde autour dans des brumes liquides
Et c´est pour ça que tu cours toujours sur la voie rapide
Chauffard, chauffard
Tu pousses la musique jusqu´au plus fort
Pour pas sentir les doigt de la mort
Et ni les chiens qui aboient dans leur sommeil
Ni les hommes de loi que tu réveilles
Tu vois quelques tâches claires sur le dos des camions
Quelques mots de travers sur des panneaux bidons
Et ton sang fait monter les aiguilles
Jusqu´au rouge des feux que tu grilles
Chauffard, chauffard
Tu vois le monde autour dans des brumes liquides
Et c´est pour ça que tu cours toujours sur la voie rapide
Chauffard, chauffard
Tu dis que tu connais ton nom par cœur
Et que tu préfères le son de ton moteur
Que si jamais personne ne t´arrête
T´iras te crasher sur le fond de la planète
Et que tu vibres quand les virages s´avancent
Et que la vitesse te laisse ta chance
Et que t´es jamais aussi tranquille
Que quand les bandes blanches défilent
Chauffard, chauffard
Tu vois le monde autour dans des brumes liquides
Et c´est pour ça que tu cours toujours sur la voie rapide
Tu vois le monde autour dans des brumes liquides
Et c´est pour ça que tu cours toujours sur la voie rapide
Chauffard, Chauffard
Chauffard, chauffard, chauffard
Et ta vie qui s´accroche à son fil
Tu es dans la zone rouge du compteur
Mais tu ne t´occupes plus des couleurs
Il faut surtout pas que tes mains tremblent
Y a les troncs des arbres qui t´attendent
Même dans les passages difficiles
Y a les bandes blanches qui défilent
Y a le vent qui siffle sous les tôles
Et le cri des pneus quand tu décolles
Et derrière toi la nuit qui retombe
Sur le sillage étroit de ta bombe
Est-ce que c´est ton cœur qui fait hurler la machine
Ou bien le moteur qui bat dans ta poitrine
Et qui propulse ton projectile
Entre les bandes blanches qui défilent
Chauffard
Tu vois le monde autour dans des brumes liquides
Et c´est pour ça que tu cours toujours sur la voie rapide
Chauffard, chauffard
Tu pousses la musique jusqu´au plus fort
Pour pas sentir les doigt de la mort
Et ni les chiens qui aboient dans leur sommeil
Ni les hommes de loi que tu réveilles
Tu vois quelques tâches claires sur le dos des camions
Quelques mots de travers sur des panneaux bidons
Et ton sang fait monter les aiguilles
Jusqu´au rouge des feux que tu grilles
Chauffard, chauffard
Tu vois le monde autour dans des brumes liquides
Et c´est pour ça que tu cours toujours sur la voie rapide
Chauffard, chauffard
Tu dis que tu connais ton nom par cœur
Et que tu préfères le son de ton moteur
Que si jamais personne ne t´arrête
T´iras te crasher sur le fond de la planète
Et que tu vibres quand les virages s´avancent
Et que la vitesse te laisse ta chance
Et que t´es jamais aussi tranquille
Que quand les bandes blanches défilent
Chauffard, chauffard
Tu vois le monde autour dans des brumes liquides
Et c´est pour ça que tu cours toujours sur la voie rapide
Tu vois le monde autour dans des brumes liquides
Et c´est pour ça que tu cours toujours sur la voie rapide
Chauffard, Chauffard
Chauffard, chauffard, chauffard