J't'ai serrée si fort
par François Hadji-Lazaro
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Cette ambulance était bien coquette, c´est gentil
Mais la camisole me serre les côtelettes, ce sera dit
Toi, je t´revois gémir, était-ce de plaisir?
{Refrain:}
Oh je t´adore, j´t´ai serrée si fort
Que ton âme alors a quitté ton corps
C´était pas la première fois que l´on m´enferme chez les fous
Mais j´n´aurai plus jamais la moindre perm, mais j´m´en fous
Je t´ai tant aimée, j´ai voulu te bercer
{Au Refrain}
Petit à petit, les jours devenaient courts
Les espoirs, aussi petits soient-ils, étaient tous pris de court
Je me revois, tout petit, à jouer dans la cour
Là, dans mon p´tit cerveau, les monstres accourent
J´espère qu´à la cuisine de l´hôpital, c´est le même cuistot
J´ai regretté en partant en cavale, son osso-bucco
J´ai eu d´autres aimées, j´les ai moins enlacées
Toi je t´adore, j´t´ai serrée si fort
Que ton âme alors a quitté ton corps
Elle m´appelait son petit niais,
Elle me caressait du col au mollet
Ma tête, alors, se calmait
Ma mère, elle me disait «Tu es ma honte», je la plains
Elle n´avait qu´à pas rater sa ponte, j´suis son poussin
Et toi, ma dernière étreinte, elle t´a éteinte
{Au Refrain}
Petit à petit, les jours devenaient courts
Les espoirs, aussi petits soient-ils, étaient tous pris de court
Je me revois, tout petit, à jouer dans la cour
Là, dans mon petit cerveau, les monstres accourent
{Au Refrain}{x2}
Mais la camisole me serre les côtelettes, ce sera dit
Toi, je t´revois gémir, était-ce de plaisir?
{Refrain:}
Oh je t´adore, j´t´ai serrée si fort
Que ton âme alors a quitté ton corps
C´était pas la première fois que l´on m´enferme chez les fous
Mais j´n´aurai plus jamais la moindre perm, mais j´m´en fous
Je t´ai tant aimée, j´ai voulu te bercer
{Au Refrain}
Petit à petit, les jours devenaient courts
Les espoirs, aussi petits soient-ils, étaient tous pris de court
Je me revois, tout petit, à jouer dans la cour
Là, dans mon p´tit cerveau, les monstres accourent
J´espère qu´à la cuisine de l´hôpital, c´est le même cuistot
J´ai regretté en partant en cavale, son osso-bucco
J´ai eu d´autres aimées, j´les ai moins enlacées
Toi je t´adore, j´t´ai serrée si fort
Que ton âme alors a quitté ton corps
Elle m´appelait son petit niais,
Elle me caressait du col au mollet
Ma tête, alors, se calmait
Ma mère, elle me disait «Tu es ma honte», je la plains
Elle n´avait qu´à pas rater sa ponte, j´suis son poussin
Et toi, ma dernière étreinte, elle t´a éteinte
{Au Refrain}
Petit à petit, les jours devenaient courts
Les espoirs, aussi petits soient-ils, étaient tous pris de court
Je me revois, tout petit, à jouer dans la cour
Là, dans mon petit cerveau, les monstres accourent
{Au Refrain}{x2}