Le bon dieu entre nous
par François Morel
lyricscopy.com
On ne s´habitue pas! On voudrait s´habituer
On ne reverra plus ceux qui nous ont quittés
On voudrait accepter mais on n´accepte pas
Le bon Dieu, entre nous je crois, n´existe pas
Comme un con, un beau jour, on reste sur le quai
Avec son sac à dos et ses yeux pour pleurer
On sait bien, c´est comme ça, on n´est pas imbécile
La vie est provisoire, l´existence est fragile
Le curé nous a dit "Il faut se résigner
Quelqu´un vient de mourir mais un enfant est né"
Quelqu´un vient de mourir mais un enfant est né
Quelqu´un vient de mourir mais il est remplacé
Merci bien du tuyau! Merci, monsieur l´ curé
Sauf que le mort, pardon! moi, je le connaissais
Assis dans la cuisine, le dimanche matin
J´ouvrais un Sauvignon, on parlait de bouquins
De cinéma, souvent. J´ouvrais un autre blanc
Quand on s´échauffait fort sur le gouvernement
Je n´ai pas de reproches à faire aux nourrissons
Qu´ils veuillent remplacer mon copain, ah ben, non!
Mais qu´ils veuillent remplacer mon copain, ah ben, non!
Pardon, excusez-moi mais pour boire un canon
Parler de politique, de la vie, des projets
Avec un nouveau-né, c´est un peu limité
Mon copain, je l´admets, chantait comme un cochon
Mais, en homme de goût, admirait mes chansons
On ne s´habitue pas! On voudrait s´habituer
On ne reverra plus ceux qui nous ont quittés
Entre nous, moi qui suis sans foi, sans espérance
J´écoute ta prière, admire ta croyance
Ne m´en veux pas, surtout, je chante malgré moi
Le bon Dieu, entre nous je crains, n´existe pas
On ne s´habitue pas! On voudrait s´habituer
On ne reverra plus ceux qui nous ont quittés
On ne reverra plus ceux qui nous ont quittés
On voudrait accepter mais on n´accepte pas
Le bon Dieu, entre nous je crois, n´existe pas
Comme un con, un beau jour, on reste sur le quai
Avec son sac à dos et ses yeux pour pleurer
On sait bien, c´est comme ça, on n´est pas imbécile
La vie est provisoire, l´existence est fragile
Le curé nous a dit "Il faut se résigner
Quelqu´un vient de mourir mais un enfant est né"
Quelqu´un vient de mourir mais un enfant est né
Quelqu´un vient de mourir mais il est remplacé
Merci bien du tuyau! Merci, monsieur l´ curé
Sauf que le mort, pardon! moi, je le connaissais
Assis dans la cuisine, le dimanche matin
J´ouvrais un Sauvignon, on parlait de bouquins
De cinéma, souvent. J´ouvrais un autre blanc
Quand on s´échauffait fort sur le gouvernement
Je n´ai pas de reproches à faire aux nourrissons
Qu´ils veuillent remplacer mon copain, ah ben, non!
Mais qu´ils veuillent remplacer mon copain, ah ben, non!
Pardon, excusez-moi mais pour boire un canon
Parler de politique, de la vie, des projets
Avec un nouveau-né, c´est un peu limité
Mon copain, je l´admets, chantait comme un cochon
Mais, en homme de goût, admirait mes chansons
On ne s´habitue pas! On voudrait s´habituer
On ne reverra plus ceux qui nous ont quittés
Entre nous, moi qui suis sans foi, sans espérance
J´écoute ta prière, admire ta croyance
Ne m´en veux pas, surtout, je chante malgré moi
Le bon Dieu, entre nous je crains, n´existe pas
On ne s´habitue pas! On voudrait s´habituer
On ne reverra plus ceux qui nous ont quittés