Ces matins
par Frédéric Zeitoun
lyricscopy.com
Je me réveille, goût amer, envie de rien
De rien, ces matins
Mon cœur est lourd à faire pleurer le chagrin
Chagrin, ces matins
Et puis j´étouffe, ma peau est bien trop petite
Mal de vivre, ces matins
Monsieur Baudelaire vient me parler de son spleen
Pas d´idéal, ces matins
Au fond d´un lit, j´étouffe ma déprime
Tout seul comme un chien
Autour de moi, les murs me semblent bien vides
Trop vides, ces matins
Comme c´est bizarre, les amis ne sont plus là
Quand on en aurait besoin
De toute façon, ils ne me comprendraient pas
C´est là pour rire, les copains
{Refrain:}
Dehors, la valse est bien orchestrée
Lala lala lala lala
Dehors, le bal a commencé
Lala lala lala lala
Saut de métro, quai en première
Terminus, changement cavalière
Le grand manège tourne bien
Lala lala lala lala
Il y a du soleil, ces matins
Lala lala lala lala
Pas plus d´amour que de grimaces
Indifférence et le temps passe
Il y a le flot des pensées un peu débiles
Débiles, ces matins
Barre de valium aux arrières-goûts de partir
Partir, ces matins
Devant ma glace, je me regarde et je ne sais plus très bien
Même plus d´orgueil pour pouvoir me prendre en charge
Me supporter, ces matins
Mais suffit d´un rien, d´un vieux bruit de téléphone
Pour tout réveiller
Salut, c´est toi, tu n´allais trouver personne
J´allais t´oublier
Suffit d´un rien pour que se refasse un masque au sourire un peu figé
Pour qu´on oublie que l´on était dans le noir, qu´un soleil allait tomber
{au Refrain}
Lala lala lala lala
Lala lala lala lala
Pas plus d´amour que de grimaces
Indifférence et le temps passe
De rien, ces matins
Mon cœur est lourd à faire pleurer le chagrin
Chagrin, ces matins
Et puis j´étouffe, ma peau est bien trop petite
Mal de vivre, ces matins
Monsieur Baudelaire vient me parler de son spleen
Pas d´idéal, ces matins
Au fond d´un lit, j´étouffe ma déprime
Tout seul comme un chien
Autour de moi, les murs me semblent bien vides
Trop vides, ces matins
Comme c´est bizarre, les amis ne sont plus là
Quand on en aurait besoin
De toute façon, ils ne me comprendraient pas
C´est là pour rire, les copains
{Refrain:}
Dehors, la valse est bien orchestrée
Lala lala lala lala
Dehors, le bal a commencé
Lala lala lala lala
Saut de métro, quai en première
Terminus, changement cavalière
Le grand manège tourne bien
Lala lala lala lala
Il y a du soleil, ces matins
Lala lala lala lala
Pas plus d´amour que de grimaces
Indifférence et le temps passe
Il y a le flot des pensées un peu débiles
Débiles, ces matins
Barre de valium aux arrières-goûts de partir
Partir, ces matins
Devant ma glace, je me regarde et je ne sais plus très bien
Même plus d´orgueil pour pouvoir me prendre en charge
Me supporter, ces matins
Mais suffit d´un rien, d´un vieux bruit de téléphone
Pour tout réveiller
Salut, c´est toi, tu n´allais trouver personne
J´allais t´oublier
Suffit d´un rien pour que se refasse un masque au sourire un peu figé
Pour qu´on oublie que l´on était dans le noir, qu´un soleil allait tomber
{au Refrain}
Lala lala lala lala
Lala lala lala lala
Pas plus d´amour que de grimaces
Indifférence et le temps passe