Phénomène
par Freedom For King Kong
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{Refrain:}
Tout le monde adule les phénomènes.
Tout le monde rêve d´être un phénomène.
Tout le monde prie pour être un phénomène.
Mais qu´est-ce qu´au juste un phénomène?
S´il faut passer par l´imposture pour devenir quelqu´un, je préfère en somme rester personne.
Je ne plongerai pas allégrement dans ce bain, on ne change pas une voyelle en qui sonne.
Transformer le banal en exceptionnel, faire croire qu´en chaque être une star sommeille.
C´est le paroxysme de la manipulation, un doigt en l´air et l´autre direct dans le fion.
Le cheval dort debout, mais lui n´a pas le choix, le spectateur, à genoux devant ses rois.
Moi vouloir devenir lui, lui pourtant n´être que moi, l´auto-insuffisance prend alors le pas.
On ne vie qu´une fois, mais pas par procuration. Penser le contraire, c´est s´arrêter de penser.
Se border dans le lit douillet de l´illusion que la grandeur se nourrit de la notoriété.
{au Refrain}
Il y a pire que le mauvais goût, c´est le non goût.
De l´un à l´autre il n´y a qu´un pas, de l´autre à l´un plusieurs voix.
Usurper n´est donc pas jouer si on en croit cette sempiternelle idée.
Que penser alors de ceux dont le coeur saigne à la simple vue de ces icônes phénomènes.
Que le mirage alors se démocratise, pénétrant chaque soir,
par le biais d´une télécommande, ce petit boîtier noir.
Il faut une vie bien morne et triste, pour s´intéresser à tout ces pseudos artistes,
qui n´ont comme seul et unique talent, de représenter monsieur tout le monde au petit écran.
Je n´ai rien contre le rêve, je tiens à le préciser, mais ceux que l´on préfabrique me font gerber.
Je n´ai rien contre le rêve, je tiens à le préciser, mais d´eldorado, point dans le paraître on peut trouver.
{au Refrain}
Tout le monde adule les phénomènes.
Tout le monde rêve d´être un phénomène.
Tout le monde prie pour être un phénomène.
Mais qu´est-ce qu´au juste un phénomène?
S´il faut passer par l´imposture pour devenir quelqu´un, je préfère en somme rester personne.
Je ne plongerai pas allégrement dans ce bain, on ne change pas une voyelle en qui sonne.
Transformer le banal en exceptionnel, faire croire qu´en chaque être une star sommeille.
C´est le paroxysme de la manipulation, un doigt en l´air et l´autre direct dans le fion.
Le cheval dort debout, mais lui n´a pas le choix, le spectateur, à genoux devant ses rois.
Moi vouloir devenir lui, lui pourtant n´être que moi, l´auto-insuffisance prend alors le pas.
On ne vie qu´une fois, mais pas par procuration. Penser le contraire, c´est s´arrêter de penser.
Se border dans le lit douillet de l´illusion que la grandeur se nourrit de la notoriété.
{au Refrain}
Il y a pire que le mauvais goût, c´est le non goût.
De l´un à l´autre il n´y a qu´un pas, de l´autre à l´un plusieurs voix.
Usurper n´est donc pas jouer si on en croit cette sempiternelle idée.
Que penser alors de ceux dont le coeur saigne à la simple vue de ces icônes phénomènes.
Que le mirage alors se démocratise, pénétrant chaque soir,
par le biais d´une télécommande, ce petit boîtier noir.
Il faut une vie bien morne et triste, pour s´intéresser à tout ces pseudos artistes,
qui n´ont comme seul et unique talent, de représenter monsieur tout le monde au petit écran.
Je n´ai rien contre le rêve, je tiens à le préciser, mais ceux que l´on préfabrique me font gerber.
Je n´ai rien contre le rêve, je tiens à le préciser, mais d´eldorado, point dans le paraître on peut trouver.
{au Refrain}