Dans mon aéroplane
par Georgel
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La p´tite Suzanne, dernièr´ment,
Disait à son amant :
Ah! Que j´m´embête.
Je n´aime plus l´auto,
Je n´aime plus les ch´vaux.
J´veux quéqu´chose de nouveau.
Il lui répond : "Mon amour,
J´ai pour toi, l´autre jour,
Fait une emplette.
C´est quelque chose de vraiment beau
Que j´ai ach´té à m´sieur Blériot."
{Refrain 1:}
Ah, viens! Ah, viens!
Viens dans mon aéroplane!
On dirait un oiseau
Ça se tient dans l´air comme il faut.
Ah, viens! Ah, viens!
Viens, ma petite Suzanne,
Tu seras folle, mon coco,
Quand t´auras vu mon p´tit oiseau.
Elle le décide sans retard,
Lui débraie et l´on part à toute vitesse.
Comme un éclair, les v´là en l´air,
Filant un train d´enfer.
A quelle hauteur monte-t-on? lui dit-elle
Il répond : "Ma chère maîtresse,
Avec une femme dans la nacelle,
On peut monter au septième ciel."
{Refrain 2:}
Ah, viens! Ah, viens!
Viens dans mon aéroplane!
Ça m´fait froid, ça m´fait chaud,
Ça met des frissons sous la peau.
Ah, viens! Ah, viens!
Viens, c´est si bon quand on plane.
Tu n´voudras plus, bientôt,
Te passer de mon p´tit oiseau.
Tout marchait comme à plaisir
Quand il se fit bien sentir,
Dans l´allumage,
Plusieurs ratés,
Et c´est un l´vier
Qui n´veut plus se r´dresser.
Il n´doit rester sans effort (?) plus d´essence dans l´ moteur.
Et le plus sage
S´rait de l´rentrer dans son hangar.
Mais Suzanne répond : "Oh, plus tard!"
Ah, viens! Ah, viens!
Restons dans l´aéroplane!
C´est si bon, c´est si doux.
Oh! Laisse-le monter jusqu´au bout.
Ah, viens! Ah, viens!
Et, d´ailleurs, s´il reste en panne,
J´ai c´qu´il faut, mon coco,
Pour garer ton petit oiseau.
Disait à son amant :
Ah! Que j´m´embête.
Je n´aime plus l´auto,
Je n´aime plus les ch´vaux.
J´veux quéqu´chose de nouveau.
Il lui répond : "Mon amour,
J´ai pour toi, l´autre jour,
Fait une emplette.
C´est quelque chose de vraiment beau
Que j´ai ach´té à m´sieur Blériot."
{Refrain 1:}
Ah, viens! Ah, viens!
Viens dans mon aéroplane!
On dirait un oiseau
Ça se tient dans l´air comme il faut.
Ah, viens! Ah, viens!
Viens, ma petite Suzanne,
Tu seras folle, mon coco,
Quand t´auras vu mon p´tit oiseau.
Elle le décide sans retard,
Lui débraie et l´on part à toute vitesse.
Comme un éclair, les v´là en l´air,
Filant un train d´enfer.
A quelle hauteur monte-t-on? lui dit-elle
Il répond : "Ma chère maîtresse,
Avec une femme dans la nacelle,
On peut monter au septième ciel."
{Refrain 2:}
Ah, viens! Ah, viens!
Viens dans mon aéroplane!
Ça m´fait froid, ça m´fait chaud,
Ça met des frissons sous la peau.
Ah, viens! Ah, viens!
Viens, c´est si bon quand on plane.
Tu n´voudras plus, bientôt,
Te passer de mon p´tit oiseau.
Tout marchait comme à plaisir
Quand il se fit bien sentir,
Dans l´allumage,
Plusieurs ratés,
Et c´est un l´vier
Qui n´veut plus se r´dresser.
Il n´doit rester sans effort (?) plus d´essence dans l´ moteur.
Et le plus sage
S´rait de l´rentrer dans son hangar.
Mais Suzanne répond : "Oh, plus tard!"
Ah, viens! Ah, viens!
Restons dans l´aéroplane!
C´est si bon, c´est si doux.
Oh! Laisse-le monter jusqu´au bout.
Ah, viens! Ah, viens!
Et, d´ailleurs, s´il reste en panne,
J´ai c´qu´il faut, mon coco,
Pour garer ton petit oiseau.