Les matins
par Georges Chelon
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Les matins ça tue les rêves
Quand le soleil se lève
On les oublie
Ces matins qui tuent les rêves
Ces soleils qui se lèvent
Je les maudis, les maudis
J´avais enfin quitté mon corps
Et je voyageais dans l´espace
Mon âme avait comme un ressort
Jailli du fond de ma carcasse
Elle riait de me voir mort
Aussi raide qu´un pain de glace
Quand le soleil jetant son or
La fit réintégrer la place
Les matins ça tue les rêves
Quand le soleil se lève
On les oublie
Ces matins qui tuent les rêves
Ces soleils qui se lèvent
Je les maudis, les maudis
J´avais mes doigts sur votre cou
Et mes lèvres jointes aux vôtres
Vous m´aviez attiré chez vous
Et j´allais d´un moment à l´autre
Eparpiller sur votre corps
Mes doigts, mes lèvres, mes folies
Quand le soleil jetant son or
Me fit revenir à la vie
Les matins ça tue les rêves
Quand le soleil se lève
On les oublie
Ces matins qui tuent les rêves
Ces soleils qui se lèvent
Je les maudis, les maudis
...
Quand le soleil se lève
On les oublie
Ces matins qui tuent les rêves
Ces soleils qui se lèvent
Je les maudis, les maudis
J´avais enfin quitté mon corps
Et je voyageais dans l´espace
Mon âme avait comme un ressort
Jailli du fond de ma carcasse
Elle riait de me voir mort
Aussi raide qu´un pain de glace
Quand le soleil jetant son or
La fit réintégrer la place
Les matins ça tue les rêves
Quand le soleil se lève
On les oublie
Ces matins qui tuent les rêves
Ces soleils qui se lèvent
Je les maudis, les maudis
J´avais mes doigts sur votre cou
Et mes lèvres jointes aux vôtres
Vous m´aviez attiré chez vous
Et j´allais d´un moment à l´autre
Eparpiller sur votre corps
Mes doigts, mes lèvres, mes folies
Quand le soleil jetant son or
Me fit revenir à la vie
Les matins ça tue les rêves
Quand le soleil se lève
On les oublie
Ces matins qui tuent les rêves
Ces soleils qui se lèvent
Je les maudis, les maudis
...