Race humaine
par INVADERDZ
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RACE HUMAINE
BEHYBE
Quand le soir écrase ma ville, et que l´espoir croise ma vie, que mes choix ne paraissent pas vides, ravi de voir que ma galère chavire, mon bic caresse la ligne, la feuille vierge accouche d´un chapitre, le je devient un il et tout devient rapide, dès lors le pitre devient un roi et le soleil se couvre d´un voile, pour que les étoiles se fassent voir, car ici pas de passe-droit, si tu es vil cadenasse toi, j´ai vécu parmi les squales et crois le ou non
Je ne laisserais pas mes ouailles finir proies tandis qu´ils boivent le houblon,
Ils te crèvent sur la route, te shootent dans le doute, je crèche sous la voûte
La Terre m´appartient, je rêve, je vous l´avoue, la guerre tue l´amour, ya de l´or sous la boue,
Des porcs sous la couche de fond de teint et des morts sur les strapontins, ce décor n´est autre que le nôtre, et ces cornes jaunes alors sont le symbole de nos fautes ? Ras le bol de nos peaux, et si on était tous verts, réunis en pelouse comme de jeunes pousses d´herbe, rien ne se perd, tout se récupère, pour leur sécu, ils s´unirent et leurs forces se décuplèrent
On aurait pu être tous frangins mais j´en ai qu´un issu d´une belge, d´un marocain
Ça en a créé des camps, des clans, des crins, des brins de folie mais aussi des liens solides
En situation insolite, problèmes insolubles que l´unité, ce fut une belle idée
Jamais validée, la colombe est alitée, résidents contre colons : fatalité
Ou réalités diverses, trop longues à relater, le prolon
-gement de mes phalanges c´est les tiennes O Ciel,
Pourquoi se regarde-t-on comme des chiens de faïences et se balance-t-on des pierres ?
S.KAA
L´union fait la force nous disaient-ils
Mais de nos jours elle nourrit ces tirs
Touristes sceptiques peu réceptifs
Car pour certains mourir est « in »
Ivres, ils virent par la vitre leurs victimes
Ont passé l´âge du Big Jim hélas la guerre reste addictive
Agissez ! On tire une ligne en espérant qu´en face on la franchisse
Et c´est la Terre que l´on franchise
Depuis 10,000 ans avant JC
Rugissez ! Canons qui parlent avec le monopole de la franchise
Personne ne sera affranchi
Tant qu´on criera « tirez » avant « réfléchissez » /
Si si
La missive n´arrête pas le missile
Disciples contre d´ici
La vitrine s´dissipe à Tikrīt comme a DC
Please
Etre alter est de mise quand les pacifistes font de la muse
Mais c´est dans un violon qu´ils se sont mis à pisser /
Une seule race
Unie par les mêmes râles et la même rage
La même galère pas les mêmes rames
On verra bien jusqu´où ça nous mènera
Un jour tu m´aimeras peut-être
Humain sois-le ou non
Et si d´autres INV vous voient de la haut,qu´ils se disent
« Ecrase les donc ! »
On aurait pu être tous frangins mais je n´en ai pas
Tout nous unit comme tout nous sépare
Chacun attend que l´autre parle
On aurait pu pu
On aurait pu pu
Mais chacun se fait avoir et jure que l´on ne l´aura plus
Chacun dans sa bulle dès le départ
On avance sans la vue
Le mauvais sens on l´a pas vu
Quel est le sens, c´est le débat
Coulez le sang ! Que l´on déballe le son de l´essence
C´est la débâcle dans les rangs de ma race
Les morts arrêtent l´instant que chaque naissance redémarre
BEHYBE
Quand le soir écrase ma ville, et que l´espoir croise ma vie, que mes choix ne paraissent pas vides, ravi de voir que ma galère chavire, mon bic caresse la ligne, la feuille vierge accouche d´un chapitre, le je devient un il et tout devient rapide, dès lors le pitre devient un roi et le soleil se couvre d´un voile, pour que les étoiles se fassent voir, car ici pas de passe-droit, si tu es vil cadenasse toi, j´ai vécu parmi les squales et crois le ou non
Je ne laisserais pas mes ouailles finir proies tandis qu´ils boivent le houblon,
Ils te crèvent sur la route, te shootent dans le doute, je crèche sous la voûte
La Terre m´appartient, je rêve, je vous l´avoue, la guerre tue l´amour, ya de l´or sous la boue,
Des porcs sous la couche de fond de teint et des morts sur les strapontins, ce décor n´est autre que le nôtre, et ces cornes jaunes alors sont le symbole de nos fautes ? Ras le bol de nos peaux, et si on était tous verts, réunis en pelouse comme de jeunes pousses d´herbe, rien ne se perd, tout se récupère, pour leur sécu, ils s´unirent et leurs forces se décuplèrent
On aurait pu être tous frangins mais j´en ai qu´un issu d´une belge, d´un marocain
Ça en a créé des camps, des clans, des crins, des brins de folie mais aussi des liens solides
En situation insolite, problèmes insolubles que l´unité, ce fut une belle idée
Jamais validée, la colombe est alitée, résidents contre colons : fatalité
Ou réalités diverses, trop longues à relater, le prolon
-gement de mes phalanges c´est les tiennes O Ciel,
Pourquoi se regarde-t-on comme des chiens de faïences et se balance-t-on des pierres ?
S.KAA
L´union fait la force nous disaient-ils
Mais de nos jours elle nourrit ces tirs
Touristes sceptiques peu réceptifs
Car pour certains mourir est « in »
Ivres, ils virent par la vitre leurs victimes
Ont passé l´âge du Big Jim hélas la guerre reste addictive
Agissez ! On tire une ligne en espérant qu´en face on la franchisse
Et c´est la Terre que l´on franchise
Depuis 10,000 ans avant JC
Rugissez ! Canons qui parlent avec le monopole de la franchise
Personne ne sera affranchi
Tant qu´on criera « tirez » avant « réfléchissez » /
Si si
La missive n´arrête pas le missile
Disciples contre d´ici
La vitrine s´dissipe à Tikrīt comme a DC
Please
Etre alter est de mise quand les pacifistes font de la muse
Mais c´est dans un violon qu´ils se sont mis à pisser /
Une seule race
Unie par les mêmes râles et la même rage
La même galère pas les mêmes rames
On verra bien jusqu´où ça nous mènera
Un jour tu m´aimeras peut-être
Humain sois-le ou non
Et si d´autres INV vous voient de la haut,qu´ils se disent
« Ecrase les donc ! »
On aurait pu être tous frangins mais je n´en ai pas
Tout nous unit comme tout nous sépare
Chacun attend que l´autre parle
On aurait pu pu
On aurait pu pu
Mais chacun se fait avoir et jure que l´on ne l´aura plus
Chacun dans sa bulle dès le départ
On avance sans la vue
Le mauvais sens on l´a pas vu
Quel est le sens, c´est le débat
Coulez le sang ! Que l´on déballe le son de l´essence
C´est la débâcle dans les rangs de ma race
Les morts arrêtent l´instant que chaque naissance redémarre
