Briquet tempête
par Isabelle Mayereau
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Je me souviens du premier effet stéréo timide
De la première photo en polaroïd
Toi et moi dans l´salon
Soixante secondes et c´était bon
Je me souviens des week-ends au bord de la mer
Des bateaux découpés dans l´écorce des pins centenaires
Pour les faire naviguer
Le soir dans l´bain à grande marée
Je me souviens de ma toute première bicyclette
Des pneus sur les marrons, les poissons rouges les chats qui guettent
Les hirondelles le soir
Le presque noir, toi à côté
Je me souviens de l´odeur du briquet tempête
Du sel qui pique les yeux, les joues, du vent qui fouette
La radio dans l´salon
La guerre au loin attention
Je me souviens des belles après-midis d´automne,
Des champignons, les voix au loin loin qui résonnent
De l´odeur des marrons
Du chocolat... c´était bon
Je me souviens des dunes longues et des œillets sauvages
Des vagues lourdes à transformer et déformer les plages
Je me souviens de vous je me souviens de nous
De presque tout.
De la première photo en polaroïd
Toi et moi dans l´salon
Soixante secondes et c´était bon
Je me souviens des week-ends au bord de la mer
Des bateaux découpés dans l´écorce des pins centenaires
Pour les faire naviguer
Le soir dans l´bain à grande marée
Je me souviens de ma toute première bicyclette
Des pneus sur les marrons, les poissons rouges les chats qui guettent
Les hirondelles le soir
Le presque noir, toi à côté
Je me souviens de l´odeur du briquet tempête
Du sel qui pique les yeux, les joues, du vent qui fouette
La radio dans l´salon
La guerre au loin attention
Je me souviens des belles après-midis d´automne,
Des champignons, les voix au loin loin qui résonnent
De l´odeur des marrons
Du chocolat... c´était bon
Je me souviens des dunes longues et des œillets sauvages
Des vagues lourdes à transformer et déformer les plages
Je me souviens de vous je me souviens de nous
De presque tout.